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témoignage faux asthme (+ réponse importante)
Envoyé par : Maëlle Hermine (Adresse IP journalisée)
Date : mer. 2 juillet 2008 13:42:01

Bonjour,
je lis depuis plus d'un an, avec grand intérêt, les messages du forum et le contenu de la section grand public. Comme de nombreux parents que le système officiel n'a pas convaincus, j'ai découvert avec étonnement la distinction vrai et faux asthme.
Ma fille de 9 ans a connu la petite enfance des enfants tousseurs, le célestène, l'excitation qui en résulte etc...Le médecin généraliste m'a orientée vers une allergo-pneumo-pédiatre ayant pignon sur rue dans la région. Après des tests allergologiques (négatifs), des tests spirométriques qui révélaient que sous ventoline, le débit était inférieur!!!!!! Elle a mis Caroline sous traitement de fond Sérétide et vento en cas de toux.
Migraines, douleurs osseuses, saignements de nez...le sérétide a été remplacé par du flixotide. Il y a un an: quintes incessantes ue nuit malgré le traitement. Le médecin de garde ne vient pas (l'asthme fait peur...) donc hospitalisation au service pédiatrique du CHu local. Caroline ne toussait plus depuis 30 minutes en arrivant là-bas. Deux heures de questions diverses avec l'interne de garde et aérosol de ventoline qui a réactivé la toux de façon importante. J'ai dit stop au mépris de l'interne qui voulait refaire un aérosol et nous sommes parties.
Le jour suivant, nous voyions Jean-Christophe Didier à Lyon. Trois séances plus tard, le diagnostic de fraux asthme posé, Caroline a été tranquille un an sans plus jamais tousser!!!! Il ya deux semaines, rhinie claire puis yeux enflés comme pour une allergie au pollen. Une toux incessante à l'école. Je file chez le généraliste quisoupçonne une pneumopathie. La saturation étant à 91, il conseille l'hospitalisation si la prise de lédicaments en change rien. A 20h, Caroline hyperventile, les pompiers viennent: mise sous O2 puis ensuite la nuit aux urgences avec ventoline et servent qui n'améliorent rien mais qu'o va lui donner tant que le 'spasme des bronches' ne cède pas.
Bilan: deux jours à l'hôpital dont 12 heures sous O2 et un traitement de cheval. Nous avons revu Jean-Christophe Didier dans la foulée: la cervicale était déplacée. Un autre rdv est prévu la semaine prochaine.
Ma question après ce long laïus: le faux asthme me semble plus daangereux que le vrai quand on est pris en charge par l'hôpital, car les médecins enchaînent aérolsols sur aérosols même si ça ne marche pas!!!! C equi a finalementn marché , c'est la cortisone prise quelques heures avant. Que faire pour éviter de se retrouver devant la cas critique de la mise sous O2 à cause de la dyspnée?
Le point d'arrêt dans le nez doit être pratiqué à quel moment exactement??
Merci de votre patience à me lire et à me répondre.
Maëlle, une ex vraie asthmatique infantile qui a négligé les traitements de fond et qui se porte comme une charme à 40 ans.(POur info, je suis chimiste et ai fait des études de biologie à la fac et ma soeur est pharmacienne!)


Re: témoignage faux asthme + explications importantes
Envoyé par : jacques (Adresse IP journalisée)
Date : mer. 2 juillet 2008 15:29:31

Bonjour Maëlle.
Un grand merci pour votre témoignage qui est très important dans la mesure où il traite du "faux asthme".
On n'en parle pas assez alors que plus de 50% de ceux qui sont catalogués "asthmatiques" et traités en conséquence, ne le sont pas.
On doit bien distinguer les deux temps respiratoires : l'inspiration et l'expiration.
La définition médicale de l'asthme est ici [www.asthma-reality.com]
Mais pour résumer, la dyspnée est expiratoire :
- l'inspiration se fait librement et l'expiration "abdominale" se fait avec les lèvres serrées, les épaules sont fermées, relevées et bloquées,les pectoraux tétanisés ; il s'agit d'un spasme des bronches. Je dois signaler un fait peu connu : l'usage exagéré de la ventoline peut conduire à un bronchospasme irréversible et une issue fatale. Comme tout produit destiné à une action, le surdosage conduit à l'obtention de l'effet inverse (le tranxène à très forte dose conduit à une excitation incontrôlable).


Dans le faux asthme, la dyspnée est inspiratoire :
- l'inspiration est difficile, la base du cou forme une dépression profonde, les épaules sont ouvertes et l'expiration se fait sans aucune difficulté ; c'est un spasme laryngé. Autrement dit : aucun bronchodilatateur n'aura d'action sur ce type de spasme ! Ce qui veut dire que la ventoline est la réponse à la peur de l'urgentiste et non à une action positive constatée sur ce type de crise. Tout comme dans les bronchiolites et les toux sèches laryngées, la ventoline est un pansement sur une jambe de bois.


Le problème du faux asthme est sa dangerosité largement supérieure à l'asthme vrai.
Dans le cas de l'asthme, le spasme bronchique est assez facilement maîtrisable avec la pharmacopée et au besoin la ventilation assistée. Alors qu'en face d'une crise de faux asthme, premièrement l'urgentiste n'est pas capable de faire la différence du fait qu'on l'a conditionné à penser "asthme" en cas de difficultés RESPIRATOIRES sans distinction entre les deux phases.
Pour lui tout est ASTHME et il réagit avec la logique qui lui a été enseignée en utilisant les médicaments QU'IL EST TENU D'UTILISER EN CAS D'URGENCE face à UNE CRISE D'ASTHME.
S'il ne le faisait pas et si cela débouchait sur un accident fatal, sa carrière serait brisée, donc il se couvre en respectant les règles édictées et en cas d'issue fatale il ne pourra en aucun cas être inquiété.


J'ai conduit un jour une dame en pleine crise au service des urgences de l'hôpital de la ville où j'exerçais et assisté aux actes d'urgence. Après avoir épuisé tous les médicaments connus pour faire cesser une crise, en désespoir de cause, l'urgentiste a pensé à du tranxène. Miracle, la crise a cessé après l'injection, cette personne faisait une crise d'angoisse qui avait la même apparence qu'une crise d'asthme !


Pour résumer, il est donc extrêmement important de distinguer le spasme bronchique du spasme laryngé et j'ai beaucoup de mal à comprendre l'attitude de la médecine et des médecins spécialistes qui refusent ces évidences irréfutables !


Il est vrai que pour beaucoup, sinon la majorité d'entre eux, il est traumatisant de recevoir une leçon de clinique par un non médecin ne pouvant se targuer d'aucun titre universitaire.


Revenons aux points qui sont capables de bloquer instantanément une crise d'asthme ou de faux asthme.
Le point d'arrêt de la crise d'asthme est décrit ici [www.asthma-reality.com]
Le point d'arrêt de la crise de faux asthme est décrit ici [www.asthma-reality.com]
Ils sont très différents dans leur localisation, ce qui est normal puisque l'un, le premier est destiné à faire cesser un bronchospasme et que l'autre est destiné à faire cesser un spasme laryngé. Le résultat est le même : la crise est stoppée en quelques dizaines de secondes.


Quel est le mécanisme du spasme bronchique :
- des articulations chondro costales subluxées émettent des messages anormaux qui, n'étant pas identifiés comme "logiques" ne sont pas transmis au centre cardio respiratoire médullaire, mais envoyés par la voie externe ganglionnaire au système central qui va les localiser comme provenant des bronches puisqu'il n'a aucune représentation des articulations (idem que dans l'infarctus, le coeur n'ayant pas de cartographie, la douleur cardiaque sera identifiée comme provenant du bras gauche du fait que les ganglions nerveux sont communs). Le système central va dont percevoir des informations lui laissant croire qu'il s'agit d'un corps étranger qui est entré dans la ou les bronches. Les réactions défensives naturelles vont être : la toux dans un premier temps pour tenter d'expulser ce corps étranger. Le problème est que la toux amplifie les efforts costaux et de ce fait amplifie également les messages issus des subluxations. Pour aider à l'expulsion, le mucus sera produit en abondance, sans effet bien entendu puisque ce corps étranger est une projection "fantôme". La vision de celui ci augmente avec les efforts pour l'expulser et en dernier recours, l'ultime défense pour qu'il ne pénètre pas plus loin est de spasmer la bronche pour le bloquer.
Alors, c'est la qu'intervient le point d'arrêt de la crise.
Le hasard qui n'existe pas, a créé quelque chose de curieux. Si la subluxation à l'origine des messages déclenchant les troubles asthmatiformes est située sur la deuxième côte droite, va apparaître dans l'espace intercostal opposé, sur le rameau perforant latéral du nerf intercostal (dans la ligne axillaire - ou sous l'aisselle pour être moins technique), une petite masse de graisse qui sera très douloureuse au toucher. Quand on la trouve avec l'index, elle provoque un réflexe d'évitement et une grimace ; on a la preuve d'être dessus. C'est exactement comme un voyant allumé indiquant "une alarme", et l'action de masser ce point lentement en même temps qu'une profonde inspiration va faire cesser le spasme bronchique en suivant.
Quel en est le mécanisme déduit :
- le message issu de l'articulation chondro costale subluxée est en dessous du niveau de conscience et sa réception par le système central va fixer les réactions sur les bronches
- le message issu du rameau intercostal OPPOSÉ, va se superposer au message inconscient, fixant l'attention du système central sur cette douleur particulièrement désagréable, lui faisant oublier la projection sur les bronches ; le spasme cesse immédiatement pour la raison suivante : LE CORPS NE PEUT GÉRER QU'UN SEUL RÉFLEXE A LA FOIS
Vous vous cognez un orteil sur un pied de table ou autre, ça fait très mal ; vous mordez votre poignet, vous ne sentez plus l'orteil ;o)
Démonstration du déclenchement de la crise et de sa cessation, dans le cadre de la formation continue des médecins (Belges, qui eux n'ont pas le complexe de supériorité des médecins français), à l'Institut d'Hygiène de Mons, devant un public de spécialistes des problèmes respiratoires [www.asthma-reality.com] et petit clin d'oeil "Merci au laboratoire AstraZeneca" qui a financé cet exposé.


Concernant le spasme laryngé, nous avons à faire à un mécanisme quasi identique tout en étant différent. Il ne s'agit plus d'une articulation émettant un message anormal, mais de l'irritation d'une fibre nerveuse sur son trajet entre le système central et sa destination "corporelle" (pour faire simple).
Une mal position particulière de la première cervicale, va entraîner un état inflammatoire en réaction, qui va durcir les tissus environnant la fibre du nerf glossopharyngien. Il est connu en médecine que le pincement d'une fibre nerveuse, dépourvue de sensibilité élective sur tout son trajet, va être perçue par le système central comme provenant de l'extrémité de cette fibre, de ses capteurs finaux.
L'exemple est l'irritation du nerf (névrome) chez une personne amputée de sa jambe qui lui fait percevoir une douleur venant de son gros orteil.
Le faible pincement d'une fibre provoque des paresthésies (fourmillements) dans la zone terminale, ce fait est bien connu.
Alors, l'irritation du glossopharyngien sur son trajet provoque des paresthésies dans le larynx, semblable à la présence d'une miette de pain, et est perçue par le système central comme tel.
Réaction normale : la toux sèche laryngée.
Hélas, la toux provoque des chocs supplémentaires sur la fibre, le système central voit le corps étranger fantôme de plus en plus gros et en ultime recours spasme le larynx pour protéger la trachée et les poumons.
Car le rôle de cette fibre est DÉFENSIF; la sollicitation forte de ses récepteurs (aussi sur son parcours dans notre cas cité) fera ou bien tousser, ou bien vomir !


C'est la qu'intervient, à mon avis, la sollicitation de ce point du nez (interne et/ou externe) qui va provoquer un arc réflexe sur le système sympathique/parasympathique venant se superposer au message "fantôme" issu de la compression du glossopharyngien.
Nous n'avons pas encore déduit entièrement son mécanisme d'action, mais une chose est certaine et je l'affirme pour l'avoir utilisé sur un enfant en pleine crise : ça marche !


Ce point peut être utilisé hors crise, d'après Frédéric Vanpoulle qui l'a mis en évidence ; son action sera bénéfique sur la ventilation du nez, car il est indispensable de respirer PAR LE NEZ. Il va provoquer une hyper sécrétion lacrymo-nasale, des éternuements, etc. et faire moucher abondamment.


En cas de toux sèche spasmodique qui risque de précéder un spasme laryngé, on doit de suite l'utiliser pour provoquer les réactions cités ci-dessus. En cas de crise déclarée, ce travail et les réactions de sécrétions la feront cesser en suivant.


J'ai pris mon temps pour bien expliquer les mécanismes, pas seulement pour vous, mais pour les nombreux lecteurs du forum et aussi pour les nombreux médecins qui le visitent et qui, parfois, trop rarement, me passe un petit courrier privé ...


Les faits sont irréfutables, nous pouvons en faire la démonstration à tout moment et je souhaite que mes écrits provoquent un trouble et des réflexions auprès de certains professionnels du milieu médical et/ou para-médical.


Toutes mes amitiés,
Jacques



Jacques Robert Gesret
Recherche fondamentale sur les pathologies du système immunitaire
Do. Honoris Causa Académie d'Ostéopathie de Montréal [asthma-reality.com]
Travaux consultables : Bibliothèque de l’Académie Nationale de Médecine, Paris

Dépôts Universitaires : [www.asthma-reality.com]


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"La première arme de la Résistance c'est l'information." Lucie Aubrac
Comment on manipule les populations [www.asthma-reality.com]

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Re: témoignage faux asthme + explications importantes
Envoyé par : Maëlle Hermine (Adresse IP journalisée)
Date : mer. 2 juillet 2008 16:00:50

Merci beaucoup pour cette réponse très rapide et détaillée.
Ayant vu de près le système urgentiste, je dois avouer être dans l'angoisse d'une nouvelle hospitalisation et 'prise en charge' d'un spasme laryngé. Impossible en effet de s'interposer et de réviser le protocole qui couvre l'équipe si ce n'est le patient, sous peine d'être regardé de travers comme un parent inconscient et irresponsable. Jusqu'à présent, Caroline faisait des toux sèches qui n'ont jamais débouché sur le fameux spasme.
Le point d'arrêt peut marcher combien de temps avant qu'on puisse voir un praticien en consultation? Car il masque le faux message dû à la malposition de l'atlas mais ne supprime pas la cause initiale du message fantôme. On peut le répéter de nombreuses fois?
Je suis vraiment écoeurée de voir le déni total de 'spécialistes' qui en viennent à ne pas distinguer inspiration et expiration, le b-a ba d'un collégien qui étudie la respiration. Cela reviendrait à avouer leur impuissance face à cette nouvelle 'pathologie' et on n'apprend que peu l'humilité (ni la psychologie) à la fac de médecine...
La pneumologie n'est d'ailleurs pas la seule spécialité où le déni est roi et les médicaments, le salut temporaire du patient et surtout permanent des labos et politiques.
Je ne peux que vous remercier d'être là depuis des années, de garder courage et d'expliquer sans relâche sur ce forum la conduite à tenir face à ces souffles perturbés. Je vais de temps à autre sur le forum 'asthme' de doctissimo, les témoignages de parents déroutés sont légion... mais fleurissent de plus en plus des messages évoquant votre méthode.

Mes amitiés
Maëlle


Re: témoignage faux asthme (+ réponse importante)
Envoyé par : jacques (Adresse IP journalisée)
Date : mer. 2 juillet 2008 18:55:37

Maëlle,
depuis 1985 je demande à présenter mes travaux devant une commission scientifique et cela reste sans suite. C'est comme si quelqu'un soupçonné d'escroquerie et diffamé, demandait à passer devant les juges pour que soit éclaircie sa situation.
De deux choses l'une :
- comme le dit un certain cyber-allergologue, je sis un charlatan, un escroc, j'ai des objectifs louches, je suis "délirant" depuis la mort de mon fils (Merci Dr. Auriol). Dans ce cas, que l'on me fasse passer devant la justice pour me faire condamner, il existe des lois pour ça.
- j'ai réellement découvert des mécanismes sur lesquels la médecine a fait l'impasse totale, perdant toute notion de clinique au profit d'une symptômathérapie dépendant d'un système commercial. Dans ce cas, que l'on m'accorde d'exposer mes travaux devant des spécialistes tels que : pneumologues, allergologues, dermatologues et surtout neurologues pour cautionner mes explications du fait que les connaissances en neurophysiologie de tous les précédents sont quasi nulles. Combien de fois ais-je pu constater l'absence de connaissances en neurophysiologie du système périphérique chez tous les interlocuteurs médecins et spécialistes que j'ai pu rencontrer.


Donc, si j'ai raison, mis à part le fait que :
- ce serait une perte sèche pour l'industrie pharmaceutique, à long terme;
- ce serait une perte pour tous ceux qui vivent confortablement sur le dos des malades;
- les "spécialistes ne pourraient pas pratiquer mes techniques avec un stylo;
- la sous traitance serait attribuée aux kinésithérapeutes;
- etc.
On devrait reconnaître mes travaux ! (humour)


Bien entendu, si vous aviez le malheur d'évoquer, aux urgences, qu'il s'agit d'un spasme laryngé et non d'une crise d'asthme ... L'intensité des regards de l'équipe vous ferait immédiatement reprendre conscience qu'une sous-merde n'a pas à se mêler de leur travail. Eux savent, pas vous !


J'ai le souvenir d'un homme que je soignais, il y a cela plus de 15 ans, et qui avait été hospitalisé en soins intensifs pour une crise terrible. Sa femme était présente et a dit à l'équipe "mon mari fait un spasme laryngé, vous voyez bien que c'est inspiratoire et pas de l'asthme. On l'a virée comme une malpropre, on a utilisé la ventoline à tout va, alors qu'elle avait dit que ça aggravait ses symptômes que d'en prendre etc. On ne l'a pas écouté.
Cet homme est mort et la vie de sa femme a été totalement brisée. Elle n'a rien pu faire, rien pu dire, les urgentistes avaient fait tout ce qui était prévu en ce cas et ils étaient "couverts".


Je vous cite : "aérosol de ventoline qui a réactivé la toux de façon importante. J'ai dit stop au mépris de l'interne qui voulait refaire un aérosol"
Il vous a écouté, vous avez eu de la chance.


Le point du nez a une action importante en cas de crise ; d'après Frédéric, il aurait également une action - dirons nous "préventive".
par contre, en cas de symptômes de toux sèche spasmodique, il faut de suite voir un de mes praticiens pour libérer la première cervicale.
N'en faisons pas un monde : la première cervicale peut ne pas être parfaitement placée sans pour autant provoquer toux et spasme laryngé ; elle provoquera des hyper-sudations des mains et des pieds, des migraines surtout "ophtalmiques", et des tas d'autres problèmes sur les voies digestives ...
Seule la combinaison première côte/première cervicale va donner les paresthésies laryngées, toux, spasme.
La déstructuration chez l'enfant va surtout venir de la façon dont on le soulève par le thorax, de dormir sur le ventre, de s'endormir dans le siège voiture sans être équipé d'une minerve de mousse pour soutenir sa tête, etc.
Un enfant qui a été traité par mes techniques, devait être révisé au début deux fois par an, même sans retour des symptômes antérieurs. Simple précaution du fait qu'il fait de nombreuses chutes, se tient fort mal, porte un cartable bien trop lourd, etc.


Je vous cite : "Trois séances plus tard, le diagnostic de faux asthme posé, Caroline a été tranquille un an sans plus jamais tousser".


Pour en venir aux forums extérieurs au mien, effectivement, on y parle de ma méthode depuis bien des années, surtout en mal !
Sur ces forums soi disant "médicaux", officient des chiennes de garde qui rappellent à l'ordre ceux qui osent parler d'autre chose que de se soumettre à la médecine et se gaver de médicaments. On les reconnaît facilement au fait qu'ils interviennent partout, sur tous les sujets, et ont à leur actif plus de 1.000 messages dans l'année :o)
Ces gens bannissent ceux qui résistent, regardez les anciennes interventions, vous verrez "pseudo supprimé" dès qu'on insiste un peu trop avec ma méthode.
En fait ces forums sont des moyens de captation des malades, de désinformation avec les laboratoires derrière. Ce que fait le site allergique.org (enregisté au nom du cyber-allergologue Auriol, nom de domaine payé par un organisme de sponsoring, en Australie ;o)) et domicilié (Auriol) aux Etats Unis (faites une recherche avec l'Icann sur son nom de domaine) Travaillant pour une société "allergie", subventionnée par Glaxo et autres labos pharmaceutiques ... Que peut-il sortir de tels forums, hormis du venin contre moi, OUI contre moi en tant qu'homme et JAMAIS contre mes travaux.
Car la technique est chaque fois la même, on va démolir l'homme quand on est dans l'incapacité TOTALE de démontrer que ses travaux sont faux.
Franchement, je me fiche de ces gens, plus ils parlent en mal de ma méthode, plus les gens sont intrigués et désirent se rendre compte par eux mêmes en venant visiter le site et le forum du "chalatan, escroc, délirant" (sic, je cite le cyber-trou-du-cul-allergologue ; d'ailleurs, sur Google [www.google.com] vous le trouverez à la troisième place.
Je dois avouer que c'est avec une certaine jouissance (méchant que je suis !) que je le voir aussi bien référencé dans la catégorie de ses mérites ; merci qui ? :o))


Pour terminer, je citerai une phrase du Professeur JEAN-BERNARD, qui s’exprimait ainsi à la télévision française en 1979 :

- Les éminents chercheurs du milieu médical ou scientifique nous aident à rester modestes. ils ont pour ce faire, quatre barrages prêts à minimiser toute fierté.

Quand on pense avoir en fin réalisé une trouvaille, on commence par vous dire que ce n’est pas «vrai».
Quand on a prouvé que c’était vrai, on vous rétorque que ce n’est pas «nouveau». On s’ingénie à démontrer que c’est effectivement nouveau, mais pour s’entendre répondre que ce n’est pas «intéressant» : et quand l’intérêt de cette nouveauté véritable est mis en lumière de façon indiscutable, la dernière des quatre chicanes à franchir tient en ces mots : "vrai ? oui ; nouveau ? d’accord ; intéressant ? peut-être, mais alors ce n’est pas de vous."


Mes amitiés,
Jacques



Jacques Robert Gesret
Recherche fondamentale sur les pathologies du système immunitaire
Do. Honoris Causa Académie d'Ostéopathie de Montréal [asthma-reality.com]
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"La première arme de la Résistance c'est l'information." Lucie Aubrac
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