COLLABOS : la presse

Grande offensive dans la presse

C’est la grande offensive de printemps ; l’information bat son plein.
Il faut dire que l’association « asthme », vous savez, celle qui se dit « indépendante », a beaucoup d’amis parmi les laboratoires pharmaceutiques … et aussi dans la presse !
Les uns payent, les autres encaissent et diffusent la propagande auprès des consommateurs.


Voici celui qui, au courant de mes travaux depuis 1987, s’est toujours abstenu de donner la moindre réponse à mes courriers : François Bernard Michel.
Président d’Honneur de cette « association indépendante », à but non lucratif (Loi 1901), financée par les plus gros laboratoires mondiaux, qui ne sert qu’à rabattre les asthmatiques sur son service de Montpellier.
En est encore à dire (et à écrire) : « l’asthme est essentiellement une bronchite qui enflamme les bronches » !
Depuis que j’avais créé cette page, il semblerait que cet énergumène ait pris sa retraite car depuis on ne voit plus que super-Godard et notre association indépendante a changé de nom, tout en recevant du Ministre de la Santé de l’époque (l’ex médecin porteur de sac de riz), des subventions pour créer leur site ? Et une manne d’Euros pour créer des écoles de l’asthme, habile système pour garder tous les asthmatiques dans leurs filets sous couvert de « Prévention de l’asthme ».
C’est un marché tellement juteux ….

Je plains l’Académie Nationale de Médecine d’avoir dans ses Membres un tel observateur qui n’a même pas constaté que plus de 50% de ceux qu’il décrète « asthmatiques » ont en fait un spasme pharyngé qui donne une difficulté inspiratoire n’ayant rien à voir avec l’asthme !

Ce Monsieur dit :

  • Les études épidémiologiques, démontrant que l’augmentation de fréquence de l’asthme coïncide avec la fréquence accrue du phénomène pollution, mieux approché et mesuré, ne sont certes pas toutes concluantes. Mais des faits, autant cliniques qu’expérimentaux, convergent pour accuser les carburants, à cause de leurs dioxydes et particules (gas-oil) et, indirectement, l’ozone.

Les études qui ont été faites aux U.S. démontrent le contraire

  • Le nombre de morts dues à l’asthme a augmenté aux États Unis depuis quinze ans, surtout dans les grandes villes. A Philadelphie, cette augmentation s’est produite alors que la concentration de polluants atmosphériques diminuait. Le taux de mortalité est plus élevé dans les quartiers dont les habitants comportent beaucoup de Noirs, de femmes seules et de pauvres, qui sont mal soignés et qui vivent dans des logements vétustes. (New England Journal of Medicine)

Des « faits cliniques et expérimentaux » !

Aurait-on réalisé des expériences à partir de sujets sains pour les faire devenir asthmatiques ?

Que l’on ai constaté des pics de crises coïncidents avec des pics de pollution, c’est un fait confirmé … mais de là à dire que c’est la cause … il y a encore du chemin à parcourir !
Maintenant, question : comment se fait-il que dans des îles situées à des milliers de kilomètres de toute pollution, sur lesquelles il n’y a pas d’usines ni de voitures, il y ait un pourcentage d’asthmatiques identique à celui des villes les plus polluées ?

Dans cette revue, au sujet des « Médecines parallèles : pas de preuves », il est dit :

  • Si tous les traitements anti asthmatiques traditionnels ont prouvé leur efficacité, aucune étude sérieuse n’a vraiment montré l’effet de l’acupuncture, de l’ostéopathie ou de l’homéopathie contre cette maladie. Pourtant des patients affirment le contraire.

J’aime particulièrement l’appellation de traitements « traditionnels » pour les médicaments modernes !

On tombe aussi dans le marketing habituel !

Chaque fois que l’on veut influencer les parents, c’est toujours à l’aide d’une photo d’un petit enfant se « tapant » sa bouffée de ventoline, avec la main sur le coeur !

D’habitude, c’est une petite fille blonde aux grands cheveux ondulés, pour changer, cette fois c’est un adorable petit garçon.

La force de l’image est grande, inconsciemment elle atteint son but : l’envie de protéger la vie du petit … avec le produit !

Une autre démarche !

Cet enfant mexicain était considéré comme « perdu ». La veille, les médecins hospitaliers avaient dit aux parents : « ne vous faites pas d’illusions, il ne lui reste pas grand chose à vivre, on ne peut plus rien pour lui ».

Devant 6 Médecins, qui l’ont examiné avant et consulté les documents hospitaliers, j’ai traité cet enfant. Après mon travail, ils l’ont re-examiné et ont constaté que tous les symptômes avaient disparus et qu’il respirait normalement.

L’enfant s’est habillé, puis est venu contre moi, a passé ses bras autour de ma taille, posé sa tête sur mon ventre … et a éclaté en immenses sanglots.

Remués « jusqu’au fond des tripes », nous avons tous pleuré avec lui, médecins, parents, visiteurs dans la salle d’attente, personnel de la clinique … tout le monde sortait les mouchoirs.

J’ai revu Diégo, un an après, il vivait normalement comme tous les enfants et n’avait jamais refait de crise.
J’ai hésité à publier cette photo, la jugeant bien trop intime pour la livrer au public.
Ce n’est pas une photo « posée » avec une radio dans une main et un crayon dans l’autre, pour faire « professeur » ; j’ai été pris à mon insu avec un enfant qui libère toutes ses angoisses en pleurant dans mes bras.
Je doute que Monsieur le Professeur ait pu avoir cette joie et cette émotion une seule fois dans sa vie !

Passons aux choses sérieuses : aucune étude n’a jamais été réalisée, tout simplement parce que ce sont ces messieurs qui décident de les faire ou surtout de ne pas les faire puisque les décideurs travaillent pour l’industrie pharmaceutique.

Il faut rappeler la formation du cabinet Mattei en 2002
Ce qui suit est un mélange d’information figurant sur certaines de mes pages, et sur celle Jacques Valentin qui a un site très complet sur les médecines douces et l’analyse de la politique de santé publique française, ses lacunes et ses scandales.
Avec sa permission, et lui la mienne, nous allons utiliser nos sources pour unir nos efforts à dénoncer ces disfonctionnements scandaleux. Le plus curieux de tout c’est qu’il existe une commission anti-corruption au Ministère de la Justice, dénonçant ces scandaleuses pratiques des haut fonctionnaires, mais sans aucun pouvoir puisque non dotée de Lois qui leur permettraient d’intervenir ; Lois, bien entendus qui ne seront jamais votées par ceux qui pratiquent ce que cette commission dénonce.

La filiale française du groupe Lilly (prozac) a annoncé jeudi la nomination de Michaël Danon en tant que directeur des « Corporate Affairs », poste qui recouvre la direction des affaires réglementaires, de l’économie de la santé, de la communication et de l’Institut Lilly.
Michaël Danon succède à Louis-Charles Viossat, qui a été nommé en mai directeur du cabinet du ministre de la Santé, de la famille et des personnes handicapées, Jean-François Mattei. Il est entré dans ses nouvelles fonctions le 19 août, précise Lilly dans un communiqué.
Agé de 42 ans, diplômé de l’Institut d’études politiques de Paris, Michaël Danon est ancien élève de l’Ecole nationale d’administration.
De 1997 à 1999, il a été directeur adjoint de l’Agence régionale de l’hospitalisation (ARH) du Nord-Pas-de-Calais et, depuis juin 1999, il était secrétaire général de l’Agence nationale d’accréditation et d’évaluation en santé (ANAES). » [D'après Reuter]
Louis-Charles Viossat a d’abord travaillé à l’IGAS (L’inspection générale des affaires sociales), ce qui aurait pu être incompatible avec un pantouflage dans une multinationale pharmaceutique. Mais il a d’abord travaillé plusieurs années pour des organismes internationaux dans le secteur social. Donc il aurait été difficilement justifiable de lui interdire d’aller pantoufler chez Lilly. Ce qui est particulièrement choquant par contre, c’est de le voir ensuite venir comme directeur de cabinet de Mattei et arbitrer des affaires ou son ancien employeur est directement partie prenante.
Il est choquant que des hauts fonctionnaires de la santé aillent travailler dans des entreprises aussi étroitement liées à leur secteur d’activité surtout lorsqu’il rejoignent une des sociétés dominantes d’un secteur organisé en oligopole (note 6). Ceci d’autant plus que l’administration de la santé manque traditionnellement cruellement de moyens humains et matériels et d’indépendance par rapport aux multinationales du secteur (note 7). Lorsque des hauts fonctionnaires comme Michaël Danon ou Louis-Charles Viossat vont pantoufler dans ces multinationales ils apportent, outre leurs compétences, leur très grande connaissance des faiblesses de l’administration dont ils proviennent et des moyens de l’influencer au mieux.

Cette attitude, donc de dire que je refuse de faire valider mes travaux, est classique de mes détracteurs, par exemple, prenons notre cyber-allergologue « Dr. Auriol » (gagnant du premier prix « cyber-trou-du-cul » décerné sur le forum fr.bio.medecine qu’il polluait des ces interventions hystériques et nauséabondes) en 1999, recruté sur ce forum, certainement au vu de sa mentalité pourrie, par une société qui travaille pour les labos pharmaceutiques (juteux créneau), il dit :
- ce Monsieur (c’est moi) n’a jamais accepté de faire valider ses travaux !
Alors que depuis 1985, je demande à les faire valider par une commission scientifique … sans jamais obtenir de réponse (voir « démarches depuis 1985« ).

Alors, auraient-ils peur ou feraient-ils en sorte que leur juteux commerce continue sans concurrence ?

 

Publié: 5 juillet 2011 sous Corruptions.

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