Violence institutionnelle

On ne dira pas que les enfants sont les personnes les mieux traitées dans notre société. Meme constat pour les malades mentaux. Qu’en est-il des enfants diagnostiqués comme ayant des problèmes psychologiques ?

On les enferme, on les (mal)traite, on les (re)dresse dans des établissements « spéciaux ».

L’histoire que je vais vous raconter date d’un peu plus de dix ans, j’avais huit ans. J’avais ce que l’on appelle des troubles du comportement alimentaire ainsi que quelques différends avec ma famille, on aurait pu dire que j’étais « bizarre ». Mais voilà j’ai été diagnostiquée comme ayant des « enclaves psychotiques » par une psychiatre qui conseilla à mes parents de m’envoyer dans une « maison spécialisée ».

La « maison spécialisée » était la MECSS de Beaulieu à Salies de Béarn (64). MECSS veut dire « maison d’enfant à caractère sanitaire spécialisée » un titre inventé par des bureaucrates et qui ne signifie absolument rien… Je ne saurais comment la définir : succursale de l’hôpital psychiatrique, maison de correction, prison ? Très vite je compris que les méthodes étaient pour le moins « dures », les punitions pleuvaient, pour le moindre mot échangé quand le silence était exigé, les claques et coup de pieds au cul étaient l’usage. J’ai vu des enfants courrir jusqu’à épuisement sous un soleil de plomb pour purger leur peine. Marie avait été prise en flagrant délit de lecture lors d’un créneau réservé à la sieste, elle dut, en plein mois de Juillet faire 40 fois le tour du terrain de foot en courant comme l’avait exigé Mr Patrick. Valait mieux ne pas contester sinon, comme Julien, un coup de pied pouvait vous faire voler dans les airs…

Pour ce qui a été de ma thérapie, facile, j’étais la plus jeune, sage, timide, bonne élève, je devins le souffre douleur de mes camarades plus âgés qui avaient ainsi un punching-ball pour se venger des sévices qu’eux aussi subissaient en longueur de journée. Je me plaignais on m’envoya paitre me disant que tant que je refuserais la nourriture on ne ferait rien pour moi. Je résistai malgré tout. Jusqu’à ce qu’un jour affaiblie par une gastro et par le harcèlement incessant de tous les adultes, je finis par gouter un bol de soupe. Après je fus obligée à manger ce qui me répugnait avec l’envie de vomir et le dégout qui ne me quittait plus. J’avalais la nourriture avec un verre d’eau comme des comprimés. Je priais pour sortir de la, je rêvais, m’enfermais dans un monde imaginaire loin de ces tortures (les insultes, coups de mes camarades n’avaient pas diminué avec mon renoncement à mon « anorexie »). Eux prirent ces rêveries pour un symptôme.

L’hygiène était déplorable, 3 douches pour 21 filles, toutes en même temps bien sur pour que la question soit réglée en un minimum de temps avec punition pour les éventuelles retardataires. Pas d’intimité, des verrues, mycoses poux pendant les deux ans que durèrent mon séjour. Un numéro pour chaque pensionnaire à marquer sur toutes les affaires, le courrier ouvert, nos lettres relues « pour corriger les fautes » alors que toutes mes fautes volontaires ont passé la douane sans problème. Les cahiers brulaient en fin d’année, on ne nous autorisait pas à les conserver, personne ne les vit. Qu’avaient-ils besoin de cacher ?

Je me suis dit « que faire dans un tel merdier ? », la chose la plus logique pour moi aura été de suivre à la lettre le règlement, marcher droit pour ne rester que deux ans et non pas quatre ou cinq…Me taire pour éviter les punitions et les coups. Les plaintes, les pleurs étant jugés comme des « gros caprices » par cette ignoble directrice qui prenait plaisir lorsque nous sortions les larmes aux yeux de son bureau.

Le psychiatre au beau rôle avec la directrice précédente avait transformé l’établissement en centre d’expérimentation sur les enfants surdoués (lien : [pedagogie.ac-toulouse.fr]). Son exposé me donne la gerbe, mettre sur le dos d’un QI élevé tous le malheur des pensionnaires, s’il y a eu des suicides, dépressions, usages de drogues c’est peut être du aux maltraitances et abus sexuels dont j’ai recueilli bon nombre de témoignage. Mais lui ne savait pas, je suppose, c’est plus facile de rédiger des articles et pavaner à des conférences, se faisant passer pour le bienfaiteur de l’humanité. Je lui ai écrit pour lui demander des explications mais il m’a répondu que le problème venait de moi, je n’ai hélas pas compris tout le bien que l’on me voulait…

Autre chose : savez-vous qui finance ce genre de thérapie ? Mes parents n’ont pas déboursé un centimes, c’est la Sécu et la mutuelle qui ont tout pris en charge…dons vos cotisations… La DASS, les services sociaux ont fermé les yeux pendant des années sur les agissements de ces sadiques sur des enfants innocents jetés en pâture à leur cruauté. Cela a duré, je pense jusqu’à ce que l’association s’occupant de l’Institut cesse son activité.

L’établissement a changé de directeur et d’orientation il accueille aujourd’hui des enfants handicapés.

Malheureusement les connards qui torturent des enfants dans ce genre de « maisons » auront toujours le beau rôle. Les psys ont toujours raison, si le malade guérit c’est grâce à la thérapie, s’il ne guérit pas c’est de sa faute, s’il se plaint il est trop bête pour comprendre.

Parmi les témoignages recueillis sur le net voici quelques extraits, certains sont encore disponibles sur les forum d’origine, d’autres pas puisque qu’apparemment la vérité gène.

« je me souviens avoir pris une baffe tous les matins pendant deux ans par Mr Jean E (chichon) pour ne pas avoir appris ma leçon par cœur…Ca n’a pas marché, sorti de la je me suis retrouvé complètement inadapté et absolument pas indépendant »

« 4 ou 5 éducateurs, 3 éducatrices, deux profs d’escrime (des jumeaux), 1 cuisinier, une psychologue, un psychiatre, 2 vieilles lingères connes et méchantes, 3 profs, la directrice et sa vieille mère au milieu des rosiers, c’est tout. Mais aucun échange, aucune discussion, pas un mot en 3 ans, que des baffes et des punitions »

« personnellement j’en garde un bon souvenir, pour un gamin un peu perdu comme moi ils m’ont bien aidé. Les méthodes n’étaient certes pas orthodoxes mais le résultat était là. Personne n’était à l’institut beaulieu par hasard. Ceci dit, il y a en effet certaines choses très gênantes comme MR Pierre en effet a tendance pédo avec une jeune appelé Emmanuelle, il la plotait au fond de la cour personne n’a jamais rien dit ou fait alors que tout le monde le savait. MR Patrick en effet un peu porté sur la violence, limite sadique le mec mais bon quand on savait comment le prendre c’était bon. »
Ce témoignage est un témoignage qui se veut positif sur l’institut.

« j’ai découvert Beaulieu pendant le mois d’intégration, juillet 78. Il n’y avait là que les « nouveaux » et les éducateurs. Des jeux olympiques sur un mois nous permirent de constituer des équipes, de nous approprier les lieux et de découvrir le personnel encadrant. Une image riante qui, je devais le découvrir, masquait l’enfer.. ( …)Nous apprîmes d’autres règles : répondre à l’appel de son matricule. J’ai été numéro 2 durant deux ans. Ce chiffre a été ma seule identité au regard des adultes.
Nous avons appris à nous taire dans les rangs, deux par deux, à marcher en rang, à nous taire au réfectoire, à recopier le modèle de courrier inscrit au tableau et que nous adressions aux parents 1 fois par quinzaine, à être douchés 2 par deux par l’éducatrice, à ne pas avoir la moindre intimité, jamais, à découvrir notre courrier ouvert, à n’être changés de linge qu’une fois par semaine, à prendre des claques à arracher une tête, à courir autour des terrains de foot, sapristi, que nous avons couru, les tours de parcs s’enchainant ainsi, jusqu’à épuisement non pas du puni, mais du nombre de tours valant condamnation. Nous avons appris à nous taire, à taire les attouchements de Monsieur Pierre puisque dénoncer ne servait à rien, juste tenter d’éviter sa compagnie, lui être odieuse pour qu’il nous fuie. On a chanté aussi, en canon, chouette chorale. On a prié surtout avec le Père Augustin, pauvre curé qui tentait de calmer nos douleurs spirituelles avec une noix, une statuette phosphorescente de la Vierge. C’était ça Beaulieu, un endroit qui accueillait des enfants en souffrance, mais cet endroit n’était pas un lieu de soins, non, c’était plutôt un centre de redressement, de concentration disent certains. Un enfer, en tout cas, proche du Fond de l’Étang, décrit par Jugnot dans les Choristes. Pourtant la guerre était loin, la France allait bien, les psys fleurissaient partout et des enfants ont été abandonnés à la violence institutionnelle. Pas de visite de contrôle, pas d’enquête, rien. Nous n’étions pas importants. »

« je me souviens de Cyril G remplissant quatre bols de sang après une baffe à point fermé de Mr Jacques L, le nez bien rouge lui aussi, pendant un silence téléphone au réfectoire.
Et Pierre L dont les seuls crimes étaient d’apprendre autistement toutes les plaques minéralogiques de la prison et de faire pipi au lit tous les matins, qui avait battu le record de tours (+ de 500). Freddy, mon pote de chambrée, était souvent invité dans la chambre de Mr Jacques après l’extinction des lumières.. »

Publié: 24 juillet 2011 sous Visiteurs.

Commentaire(s)

Commentaire de Jacques
24 juillet 2011 à 15 h 22 min

Bonjour,
de votre récit se dégage une chose qui était (est ?) assez courante dans des établissement « spécialisés » qui accueillent des enfants.
Comme le dit Reich, la haine de l’enfant peut alors s’exprimer en toute légalité par le fait que les gens qui sont dans ces établissements ont « autorité légale » sur leurs pensionnaires. Et comme ils contrôlent absolument tout (par la terreur imposée) il ne peut rien sortir à l’extérieur qui pourrait alerter les autorités judiciaires. Parce que je suis persuadé que si de pareilles récits arrivaient aux oreilles d’une gendarmerie, une enquête serait immédiatement diligentée.
La pédophilie est très courante dans les établissements où des adultes ont tout pouvoir sur les enfants et elle n’est pas uniquement « masculine ».
A l’âge de huit ans, ayant été contaminé par un tuberculeux, j’ai fait une fistule bronchique et une primo infection carabinée, qui m’a valu de perdre 3 ans de ma vie dans divers établissements, dont un préventorium en région proche Paris, tiens une carte postale [copainsdavant.linternaute.com] … Et sur celle la je suis sur la photo, premier rang, troisième en partant de la droite [copainsdavant.linternaute.com]
La nuit, l’infirmière de garde du dortoir de plus de 100 gosses, réveillait ceux qui pissaient au lit pour les faire uriner dans un pot, suivie après d’une petite branlette inachevée que l’enfant terminait lui même. Ces femmes étaient méchantes avec les enfants, mais au lieu des sévices corporels, c’était des « cures » obligatoires (couché dans le dortoir, sans bouger, sans lire, au lieu de jouer dehors.
Bof, je vais pas raconter ma vie d’enfant, elle est maintenant très loi derrière moi ;o)

Vus avez bien fait d’écrire ce récit ici, ce forum est particulièrement adapté à ce genre d’abus. Par contre, je me demande si l’action de la Justice est éteinte par la fermeture de l’établissement ?
Des instituteurs sont poursuivis pour pédophilie des années après, si, adultes, des victimes portent plainte. Ces sadiques sont toujours en vie, je suppose et va savoir … peut être se retrouveront-ils un jour devant un tribunal pour violences à enfants par personnes ayant autorité sur eux ?

Mes amitiés,
Jacques

Commentaire de Jacques
24 juillet 2011 à 15 h 22 min

Bonjour Laura,
vous savez, ça ne me dérange même plus que sur le vomitorium de doctissimo, on me lynche chaque fois que quelqu’un ose témoigner pour ma méthode.
Il y a de suite celle qui a essayé et qui n’a obtenu aucun autre résultat que de perdre son argent !
C’est fréquenté par des gens peu équilibrés, car quand on voit comment ils s’agressent entre eux, si on est normal, on évite d’y participer.
Quand à l’autre « allergologue » (qui n’est pas une spécialité médicale reconnue) il a terminé ses études et est rentré direct dans cette société qui travaille pour l’industrie pharmaceutique.
Il est intelligent, il a compris qu’on gagnait plus d’argent en tant que salarié à intoxiquer le public par de la propagande, plutôt que se faire suer tous les jours à faire des tests sur de mômes pour en fait les coller sous corticoïdes.
Son titre de médecin ne lui sert qu’à se positionner dans la société.
Il m’a dit un jour dans une réponse à un courrier dans lequel je lui proposait de soigner un groupe d’enfants pour faire la preuve de mes techniques « que même s’ils étaient guéris, pour lui ça ne serait pas une preuve ».
Il faut être con à bouffer du foin pour répondre pareille chose !

Bref, je continue ma vie en faisant attention de ne pas marcher dessus, ça colle aux semelles et ça pue !

Amitiés,
Jacques

Commentaire de Abeytu
24 juillet 2011 à 16 h 14 min

Bonjour,

Ce que vous dites sur les attouchements commis par des femmes rejoint ce que ma grande tante m’a raconté.Quand elle avait 25 ans elle a eu un problème à un poumon,quelque chose a « craqué »alors qu’elle soulevait un sac de patates,elle a toussé du sang et a été admise dans un hôpital religieux. Elle y est restée 18 mois avec des bonnes soeurs qu’il fallait autoriser à mettre la main dans la culotte sans quoi,la soeur,au lieu de faire la piqûre prenait un malin plaisir à torturer la malade avec son aiguille.

Pour l’action en justice,il y a eu des plaintes déposées,j’ai été contactée par un gendarme mais mon cas ne l’intéresse pas,il ne s’agit « que » de violence,il faut des attouchements sexuels pour aller devant les tribunaux.De plus la prescription (privilège des coupables) fait que pour certaines victimes c’est trop tard. Le gendarme essaie de trouver d’autres victimes grâce à des témoignages,la plupart recueillis en premier lieu via des forums.Un grand nombre de ces témoignages ont été perdu à cause des modérateurs de Doctissimo qui suppriment les témoignages portant préjudice à des établissements ou personnes.

Je me doute que ces comportements sont encore d’actualité dans certains établissements ou hopitaux, j’ai lu récemment le témoignage d’une jeune anorexique (http://www.rue89.com/2011/01/11/anorexique-jai-passe-neuf-mois-isolee-en-hp-pire-que-la-prison-185032) et il suffit de voir comment les personnes âgées sont maltraitées dans les maisons de retraites.Ceux qui souffrent de la maladie Alzheimer sont des proies faciles car ils ne se plaignent pas.

Cordialement

Laura

Commentaire de Jacques
24 juillet 2011 à 17 h 09 min

Incroyable,
il faut une connotation « sexuelle » pour que la justice suive son cours !
Mais les violences et cruautés mentales et physiques effectuées par une personne majeure sur des enfants qu’il a sous son autorité, C’est tout simplement de la torture et mis à part Israel qui l’a légalisée, elle est totalement interdite dans tous les autres pays (officiellement, du moins).
Dans certains établissements, les personnes âgées sont maltraitées et parfois cela fait la une des journaux. Par contre, il existe une autre forme de maltraitance dissimulée, c’est le vol de biens. Je ne vais pas m’étendre la dessus, c’est un autre sujet !
Si l’on se heurte à des personnes ayant « autorité » légale, comme par exemple le tuteur judiciaire d’une personne âgée, quand on ose lui demander des comptes, croyez moi, c’est pas mal non plus !
Moi, mon père à disparu de la circulation depuis 6 ans et malgré toutes les démarches effectuées, j’ai jamais pu savoir dans quel établissement on l’avait mis, pas plus que de savoir s’il est toujours vivant ?
[mafia-judiciaire.blogspot.com]
Évidemment, quand il a été mis sous tutelle à ma demande, il avait presque 5 millions de francs sur des livrets bancaires … Bien tentant pour certains, j’aurais la surprise un jour de découvrir le pillage.
Ce n’est pas le seul cas, il y a une mafia derrière les personnes âgées mises sous tutelle judiciaire, même la mairie d’une grande ville du sud ouest de la France a été mouillée dans des vols de mobiliers et tableaux de valeur …
Bref, nous vivons dans un monde en décomposition dans lequel les faibles sont dévorés et les forts s’en nourrissent.
Mes amitiés,
Jacques

PS : Doctissimo préfère conserver les messages et les photos pornographiques qui illustrent certains de leurs forums « spécialisés », c’est grâce à ça qu’ils arrivent en tête de classement sur tous les sujets. Cherchez à qui appartient ce vomitorium et vous déboucherez sur des requins de la finance et de la politique.
Comme ils ne peuvent pas brider Internet, ils l’intoxiquent avec des intervenants professionnels et en virant tous les opposants. Avec le forum de allergique.org tenu par le cyber trou du cul allergologue [www.google.com] Doctissimo est le second forum où personne n’a le droit de venir témoigner de l’efficacité de mes techniques … les messages sur le premier ne sont jamais mis en ligne, et sur le second, c’est la démolition assurée par des gens n’ayant jamais eu recours à aucun de mes praticiens. J’y suis interdit de séjour, ne pouvant même plus intervenir pour répondre.
En fait, qu’on en dise du bien ou du mal, l’important c’est qu’on en parle.
Même un ostéopathe, lumière parmi les lumières donne son avis sur mon travail dans un forum où il joue les caïds sur un groupe de mamans en pleine admiration [asthma-reality.com] Ce mec était encore à l’école quand je faisais mes premières publications dans la revue Ostéo, en 1996 ;o)) Lui c’est pas un cyber trou du cul allergologue, mais un cyber trou du cul ostéopathe. Merci Monsieur Maurice Franck pour vos élégants commentaires, ils sont tout à votre honneur ;o)

Commentaire de Abeytu
25 juillet 2011 à 22 h 36 min

Bonjour,

En regardant quelques pages dans doctissimo on voit bien que ce sont des vendeurs de médicaments, de vaccins, de régimes qui tirent les ficelles… Ce qui émettent des critiques se font traiter de « gourou pseudo scientifiques » (ce qui se trouve dans les fora « astrologie » ou « voyance » serait il plus scientifique ?!). J’ai regardé quelques pages sur les produits laitiers. Je n’aime pas ça et j’en ai marre des gens qui me prédisent toutes sortes de maladies,un jour on m’a meme dit que j’allais attraper la maladies des os de verres (c’était un camarade étudiant en biologie en plus), je ne comprends pas comment si le lait est si indispensable on a fait avant l’élevage… Bref,sur doctissimo ils se permettent une publicité sans limite, sur les probiotiques c’est fou…
J’ai quand meme envie de laisser un message concernant votre méthode dans le forum allergies,je verrai ce qu’il en adviendra.

Le cyber trou du cul allergologue est d’après moi un « petit con » (ce n’est pas une question d’age mais de style,de comportement) qui se croit intelligent parce qu’il a été admis en médecine, qui se croit sociable, drôle,cool,il doit faire le mariole devant ses copains et se faire admirer pour ces âneries. J’ai rencontré des gens de ce « genre » au cours de mes études, ils se prennent pour l’élite de la nation, certes ils sont « brillants » dans un domaine à coté de ça pas grand chose.

Cordialement

Laura

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