L’asthme ça rapporte !

Voici un texte pris sur le site du Ministère de la Santé

• La gravité de l’asthme s’accroît : le nombre de décès dû à l’asthme a augmenté de 36% entre 1980 et 1995 ; depuis 1990 il se stabilise autour de 2 000 décès par an, soit un taux de décès de 3,5 pour 100 000.
• En cinq ans l’incidence de l’asthme, reconnu en tant qu’affection de longue durée, a augmenté de 4,4% en moyenne (en 1995 plus de 9 400 asthmes ont été admis en affections longue durée).
  Quatre personnes sur 100 000 sont présentes en hospitalisation pour asthme un jour moyen, soit sur l’année entière 840 000 journées d’hospitalisation dues à l’asthme en tant que maladie principale (enquête nationale sur les hospitalisés réalisés en 1991­1992 par le CREDES auprès d’un échantillon représentatif).
• Un quart des séjours concernent les enfants de moins de cinq ans.
• Le CREDES évalue la dépense annuelle liée aux hospitalisations pour asthme en court séjour entre 1, 2 milliard et 1,4 milliard. Une autre étude parue en 1994 estime à 7 milliards de francs le coût total de l’asthme, dont 63 % de coûts médicaux et 37 % de coûts indirects tels que l’absentéisme et l’invalidité.
• Cette situation est d’autant plus préoccupante que l’évolution est comparable dans les autres pays européens : en effet, les dernières décennies ont vu une augmentation considérable de la prévalence de l’asthme dans la communauté européenne.
• L’évolution parmi les enfants paraît particulièrement grave car c’est chez eux que l’on observe une forte croissance du nombre de cas (en France une étude menée sur les établissements scolaires à Paris évalue à 6 % les enfants de CE2 souffrant d’asthme et à 10 % ceux qui ont des facteurs évocateurs d’asthme) ; il ne semble pas que cette augmentation soit liée à une modification des critères diagnostiques car les études récentes qui tiennent compte de ces changements tendent à conclure qu’il y a eu une hausse réelle du nombre de cas.
• Une meilleure connaissance des facteurs de risque s’impose donc ; on sait que l’asthme est une maladie multifactorielle avec, dans la presque totalité des cas, une composante allergique. Les relations entre asthme, allergie et environnement sont complexes et restent encore mal connues du fait de la diversité des facteurs, de leurs interactions, de la sensibilité individuelle et du mode de vie : il s’agit aussi bien de polluants chimiques que d’allergènes biologiques (acariens, phanères animaux, pollen etc) ou de virus, à l’intérieur et à l’extérieur des locaux. Aussi les mesures préventives sont-elles multiples mais devront à l’avenir se développer encore pour limiter la croissance actuelle.

Analysons ce texte :

Le nombre de décès s’est mis à augmenter à partir de 1980 jusqu’en 1995 où il s’est stabilisé !
Vous ne trouvez pas curieux que d’un seul coup il y ait eu une augmentation des cas d’asthme dans les pays « riches ». Vous ne trouvez pas curieux que cette augmentation ait commencée aux Etats Unis ?
Si vous avez lu ma page concernant l’augmentation des cas d’asthme chez l’enfant, vous avez déjà les réponses, sinon les voici : les chaussons de sport sont apparus dans les années 1980 aux US, puis ont commencé à pénétrer le marché Européen où aujourd’hui il est saturé.

Et qui ne porte que des chaussons de sport aux pieds du matin au soir ?

Les enfants que l’on chausse avec ça dès qu’ils commencent à marcher.

Le fait d’avoir aux pieds des semelles trop souples fait que tous les enfants qui portent ça présentent des hyperpronations des deux pieds et de genu varum – et trop adhérentes au sol, provoque énormément de ruptures de tendons (étude d’un chirurgien qui en a opéré 900 pour en arriver à cette conclusion et parue dans les cahiers de la chirurgie Française ; article paru dans le Figaro citant cette étude, mais qui n’a servi à rien). Pour ne rien arranger, les enfants portent des cartables de plus en plus lourds.

Le chausson étant déséquilibré par de multiples facteurs – différence dans l’épaisseur des semelles (j’ai trouvé jusqu’à 7 mm de différence sur une paire de Nike torsions en taille 41), différence de compressivité de la mousse d’un chausson à l’autre – l’enfant va se retrouver avec une fausse jambe courte sur laquelle il va prendre en permanence un appui privilégié dans une attitude scoliotique.
On porte toujours le poids du côté de la jambe qui est la plus courte (faites l’essai d’enlever une chaussure et de porter une charge importante d’un côté et de l’autre et vous verrez que j’ai raison), donc l’enfant va porter sa charge sur l’épaule qui correspond au côté de sa jambe raccourcie par le chausson le moins épais, ou le plus souple. De ce fait il va dérégler toute sa structure, fausser son bassin, subluxer ses côtes, etc.
Il deviendra asthmatique … puisque tous les asthmatiques présentent cette combinaison … et que, remis en état il n’ont plus d’asthme.

Les allergies ont bon dos !

« On sait que l’asthme est une maladie multifactorielle avec, dans la presque totalité des cas, une composante allergique« .

C’est faux ! Plus de la moitié des gens dits « asthmatiques » ne présentent pas d’allergies particulières.
Ce que je dit : plus de la moitié de ceux qui sont catalogués « asthmatiques » n’ont pas une constriction des bronches (difficulté expiratoire, asthme vrai) mais un spasme du pharynx (difficulté inspiratoire, faux asthme). Ce sont les sujets qui ont toujours une petite toux, qui râclent la gorge et qui ont un maximun de symptômes dans la nuit. Au Mexique, j’ai formé des médecins en clinique (ce qui est légalement impossible en france, et passerait pour « cautionnement d’exercice illégal de la médecine, compérage, etc. Justifiant une radiation du Conseil de l’Ordre et une interdiction temporaire ou à vie d’exercer pour le médecin), et j’ai pu leur démontrer l’exactitude de mes travaux et l’efficacité de mes techniques. (je vous recommande de voir mes pages sur les formations au Mexique)

Divagations pseudo-scientifiques

Avant la chute du « mur de Berlin », les cas d’asthme étaient bien inférieurs à l’Est qu’à l’Ouest. Depuis, les statistiques sont identiques. Des scientifiques de comptoir ont sauté sur cette occasion pour inventer un nouveau concept : avant, à l’Est, les gens manquaient d’hygiene et depuis qu’ils ont accès à tout, ils sont beaucoup plus propres. Le système immunitaire, dans le cas d’un manque d’hygiène, est mobilisé contre de gentils microbes et est très occupé par ce travail. Dans le cas d’une trop grande hygiene, le système immunitaire n’a plus rien à combattre et comme il doit obligatoirement s’occuper, et non se reposer, il se retourne contre le corps qui l’héberge.

Si vous pensez que je déraille, vous êtes dans l’erreur la plus complète, ce genre de débilité a été publié dans bien des journaux dont « Le Monde » en Juillet 99.

L’asme ne coûte pas, il rapporte !

En 1994, le coût de l’asthme a été évalué à 7 milliards de Francs, dont 63% en coûts médicaux ; ce qui fait plus de 44 milliards qui sont en fait rentrés dans les escarcelles de ceux qui vivent sur cette maladie !
Quand on dit que ça coûte, moi je dit que de l’autre côté ça rapporte. Equation simple.
Ces chiffres sont à revoir à la hausse, vieux de 6 ans, ils peuvent être multipliés par deux aujourd’hui.
A titre indicatif, aux US l’asthme coûte/rapporte 7 billions de $.
Essayez d’imaginer (car les chiffres sont impossibles à trouver) ce que ce marché rapporte sur le monde entier ???? Pensez aussi aux pharmaciens qui se régalent avec une marge de 40% sans concurrence. A ce sujet, je pense que la Sécurité Sociale ne devrait pas rembourser cette marge et qu’elle devrait rester à la charge des patients. Les parmaciens se feraient de la concurrence en baissant leurs marges pour avoir le plus de « clients » possibles et tout le monde y gagnerait ; plus de « trou à la Sécu », plus de « RDS » ni de « CSG », le bonheur parfait ! Curieux que les technocrates n’y aient pas encore pensé ?
Au fait, quand on parle du « trou de la Sécu », il existerait un moyen bien plus simple encore pour le combler : que les « fonds occultes » de Matignon et de l’Elisée, qui s’élèvent à plus de 950.000.000 de francs (950 millions de Francs !) en 4 ans, et qui servent surtout à arrondir les fins de mois des politiciens au pouvoir (sans que personne n’ait de comptes à rendre) soient consacrés à la santé des gens.

Donc, s’occuper de l’asthme aujourd’hui est la voie royale de la médecine et des laboratoires !
Tout leurs efforts tounent autour d’un seul but : trouver un produit consommable qui soit le meilleur pour cacher les symptômes. Mais la cause n’intéresse personne !

Les moyens de désinformation

Tout enfant qui tousse est un futur asthmatique, la presse se charge de bien ventiler l’information que les « Professeurs médiatiques » leur concoctent avec beaucoup de soins : peurs, photos d’enfants la main sur le coeur et la bombe de Ventoline dans la bouche, émissions de télé, de radios, CD Rom pour enfants (sic), écoles de l’asthme, livres illustrés d’acariens monstrueux colorisés en rouge ou en vert pour qu’ils effaient un peu plus (sic), débauche de moyens financiers pour des congrès mondiaux à répétition, saturation d’internet par des centaines de sites sponsorisés par les plus gros labos du monde,etc.
Un détail amusant, à l’heure où j’écris ces lignes, cela fait deux ans et demi que mon site existe et j’approche les 120.000 visiteurs (vrais, sans tricherie car le système extérieur qui effectue les mesures ne comptabilise qu’une seul fois un visiteur dans une journée, même s’il revient plusieurs fois).
Quand je vois les compteurs de visites de mes concurrents, j’ai presque pitié d’eux !
Sans argent, tout seul dans mon bureau, juste avec un travail qui frise les 17 heures par jour, je les ai largement distancés. Ils étaient les premiers sur tous les moteurs de recherche ; je suis pratiquement partout passé devant eux. Même sur des sites de références médicales, j’en suis le premier surpris ?

La pollution, future vache à lait pour l’État

Alors on accuse la pollution en général et les voitures en particulier. C’est voulu, pour permettre d’inventer de nouvelles taxes pour tirer de l’argent aux pollueurs. Mais ces taxes ne serviront jamais à construire des hôpitaux, ni à leur fournir un personnel suffisant pour les faire fonctionner. Le politicien se fiche pas mal de la santé des gens, surtout quand sa campagne politique a été financée par un très gros laboratoire pharmaceutique ; et arrivé au Ministère de la Santé, ce même politicien s’empresse de passer commande de 900 000 doses de vaccins à son bienfaiteur. Il n’y a pas qu’à Lourdes que se produisent des miracles !

Le mal asthmatique, aujourd’hui, fait vivre plus de personne qu’il n’en tue.

Comme je l’ai déjà écrit :

il y a ceux qui épluchent les oignons … et ceux qui pleurent sur l’asthme !

 

Publié: 5 juillet 2011 sous Le coin des tordus.