Mort d’un enfant : les faits

Préliminaire

Puisque le Dr. Auriol « Cyber-allergologue », sur son forum et son site, peut se permettre de me salir publiquement, allant jusqu’à dire que la mort de mon fils m’a rendu délirant et que j’exploite cela pour m’enrichir, je publie de nouveau les pages que j’avais cru bon supprimer de mon site, afin de n’y laisser que des éléments d’information sur mes techniques. Vous pourrez donc découvrir les saloperies qui entourent les circonstances du décès de mon fils ainsi que les magouilles qui ont permis au médecin et au pharmacien d’éviter toute responsabilité et condamnation, étant bien entendu tous deux défendus, l’un par le Conseil de l’Ordre des Médecins, l’autre par le syndicat de la pharmacie.
Qu’avais-je à l’époque pour ma défense : l’aide judiciaire …

La haine n’a jamais eu la moindre place dans mon coeur, je puis vous l’assurer !

Je me suis battu pour comprendre, pour chercher, pour trouver et pour que ma découverte (clinique, et non pas « médecine alternative ») puisse servir au plus grand nombre.
Hélas ! Ce que j’ai trouvé va à l’encontre des « intérêts » de la médecine, des réputations établies, du commerce juteux qui tourne autour de l’asthme, des politiciens qui protègent ce système, etc.
Je pense que vous avez pris connaissance des démarches effectuées depuis 1985 et que vous arrivez aux mêmes conclusions que moi : tout le monde se fiche de votre santé !

Un grand principe : si on me donne un billet … je rend toujours la monnaie

Les faits

Mon fils Franck est né le 15 Juillet 1964 et il est mort le 15 Juillet 1974.

Les circonstances de sa mort sont liées à la prise d’un médicament « adulte » au lieu « d’enfant », délivré par erreur par une employée non qualifiée d’une pharmacie, et sans l’inscrire au tableau C.
Le pharmacien était absent, occupé à surveiller la construction de sa villa.
Premier point : il s’agit donc d’un exercice illégal de la pharmacie … qui n’a jamais été poursuivi.
Le médecin « spécialiste » de l’asthme, de Dr. Préault à Dieulefit qui avait vu mon fils, avait préconisé un médicament en suppositoires qui n’était plus fabriqué sous la forme « enfant » depuis deux ans.

Ce n’est après le décès de mon fils que je me suis aperçu de ça ; ma mutuelle m’avait renvoyé les papiers avec la vignettes, me signalant une erreur … de prix !

Je suis allé voir un avocat pour qu’il dépose une plainte contre le pharmacien.
Rien à faire, pour pouvoir déposer cette plainte il fallait « un avis médical autorisé« .

Je me suis mis en quête d’un médecin qui me ferait un simple papier disant que « la théophylline pouvait représenter un danger en cas de surdosage chez l’enfant ».
J’ai vu plein de médecins, d’accord, très touchés par ce qui était arrivé, mais … pas d’accord pour me faire ce papier.
J’ai pris contact avec le centre anti-poisons de Lyon ; ils ont été formels au sujet de la toxicité de ce médicament, mais lorsque j’ai demandé de me l’écrire … ils ont refusé !
Un an et demi à traîner comme ça, allant de déceptions en humiliations. Jusqu’au jour où un médecin de le sécurité sociale outré par ce que je venais de lui apprendre, me mis en relation avec un médecin mutualiste qui m’a fait ce fameux papier.

J’ai enfin pu déposer plainte … au civil !

Lorsque je suis allé signaler les faits au Procureur de Valence (26), une dizaine de jours après le décès de mon fils, du fait qu’il y avait présomption d’homicide par imprudence, pourquoi n’a-t-il pas immédiatement ouvert une instruction ?

Les services de Police auraient effectué leur enquête, une autopsie aurait été réclamée, l’ordonnancier de la pharmacie aurait été saisi, et la lumière aurait été faite très rapidement.

Au lieu de cela, j’ai fait 11 ans de procédure civile pour en arriver à être débouté et condamné aux dépens.

Avec ce type de procédure, la porte a été ouverte à tous les mensonges, magouilles, et protections en tous genres.
En lisant la suite, vous aurez les détails de ce que j’avance.

 

Publié: 5 juin 2011 sous La mort de Franck.