Mon Dieu, quelle horreur !

Nouvel Ordre Mondial: Grippe aviaire et Nouvel Ordre Mondial

[www.voxdei.org]Article du Dr Leonard G. Horowitz. L’original peut être consulté en Anglais à l’adresse suivante :

[educate-yourself.org]

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Reproduction de la traduction française autorisée, pourvu qu’elle soit intégrale, et que les sources soient indiquées.

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Si la grippe aviaire devient réellement une pandémie redoutable, ce sera à la suite d’une volonté politique délibérée. Par cet article, nous pouvons être mieux informés sur le prochain génocide « médicalement assisté », tout en nous confiant dans le Seigneur pour notre protection !

En avril 2003, nous avons déjà connu le SARS (Severe Acute Respiratory Disease, SRAS en Français), ou pneumonie atypique. Cette maladie nous venait également d’Asie, et frappa lourdement la région de Toronto. J’étais sur place pendant presque toute la durée de cette épidémie, qui annonçait la grippe aviaire actuelle. On a dit à l’époque que le SRAS était la dernière venue de toute une série de maladies nouvelles, provoquées par une série de mystérieux « super germes » mutants qui devaient frapper l’humanité.

Une étude scientifique attentive des caractéristiques médico-sociologiques et des antécédents de cette épidémie a révélé quelque chose de bien plus insidieux que le SRAS proprement dit. J’ai considéré la réaction des médias comme doit la considérer tout diplômé de Harvard, expert en problèmes de santé publique et en techniques psychologiques de persuasion mentale. Car cette épidémie possédait toutes les caractéristiques d’une nouvelle expérimentation sociale conduite par des « bioterroristes » en blouse blanche.

Il me parut clair que cette manipulation humaine sans précédent était destinée à endoctriner les masses populaires et à les manipuler subtilement, pour qu’elles soutiennent une politique de santé publique parfaitement inadaptée à la venue d’une pandémie massive, malgré toute la législation existante (1). Tout au long de l’épidémie de « pneumonie atypique, » les médias n’ont cessé de faire référence à des « agents bactériologiques » nouveaux, qui pouvaient provoquer la disparition du tiers à la moitié de la population mondiale. Ayant étudié à fond tout ce qui a été publié récemment en matière de contrôle de la population, ainsi que les objectifs actuels des principales sociétés industrielles multinationales, j’ai remarqué que ces « prédictions » correspondaient étroitement à certains objectifs officiels en matière de réduction de la population mondiale (2).

En 2003, la lutte menée au Canada contre le SRAS, pour la première fois de l’histoire de ce pays, fut dirigée directement par les Nations Unies et par l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS). Pour avoir découvert les liens étroits qui existaient, sur les plans financier et administratif, entre les organisations suivantes, j’ai constaté que la famille Rockefeller, la Fondation Carnegie, et les principaux dirigeants de l’industrie pharmaceutique mondiale, ont contrôlé la recherche canadienne et la lutte menée au Canada contre cette épidémie.

Aucune grande pandémie, ou épidémie à l’échelle mondiale, n’a jamais pu être séparée de son contexte économique et politique. L’épidémie de pneumonie atypique a fait avancer le programme politique du Nouvel Ordre Mondial beaucoup plus vite que tout autre problème de santé publique. Si les responsables politiques de la santé publique voulaient réellement prévenir ces épidémies nouvelles qui se produisent régulièrement, ou s’ils voulaient vraiment les traiter à la source, ils ne pourraient manquer de remarquer que ces agents bactériologiques dévastateurs sont toujours mystérieusement apparus au sein de structures secrètes associant certains milieux militaires, médicaux et de la biotechnologie. Il suffit simplement d’étudier la sociologie médicale pour s’en rendre compte.

Cela fait des décennies que certains « experts » nous prédisent l’arrivée prochaine d’une super épidémie dévastatrice. Ce qui a aussitôt éveillé mes soupçons, en ce qui concerne la pneumonie atypique, fut le moment où elle est survenue. Elle survint au moment même où était lancée la guerre totale contre le terrorisme, et la guerre Anglo-Américaine contre l’Irak. Il m’a semblé qu’il s’agissait là d’une occasion rêvée de « distraire » l’opinion publique du fait que l’administration Bush avait accusé Saddam Hussein d’accumuler un arsenal impressionnant d’armes bactériologiques, dont l’anthrax et le virus du Nil. L’épidémie de pneumonie atypique était donc caractéristique de ce que j’avais déjà annoncé dans l’un de mes livres au titre prophétique, publié avant les attaques du 11 septembre. Plusieurs mois avant ces attaques, je les avais annoncées dans ce livre, en présentant l’analyse conceptuelle qui nous permet de comprendre les liens qui existent entre ces épidémies et le Nouvel Ordre Mondial (Death in the Air : Globalism, Terrorism and Toxic Warfare, Tetrahedron Publishing Group, 2001 – « Mort dans l’air : Globalisme, Terrorisme et Guerre chimique »).

Pour résumer l’essentiel de ce livre, j’y expliquais comment une certaine forme de « bioterrorisme » d’Etat était parfaitement compatible avec une guerre bactériologique officiellement menée par un Etat. Saddam Hussein avait lui-même fait subir à certaines des populations de l’Irak et des Etats voisins les effets destructeurs des armes chimiques et bactériologiques. Pour moi, il est clair que la pneumonie atypique, tout comme la grippe aviaire actuelle, se sont produites avec le consentement et l’appui de certains milieux des industries médicale, pharmaceutique, pétrochimique et militaire, opérant de manière illégale. C’est ce que j’ai pu prouver maintes fois.

Ayant eu l’occasion de témoigner devant le Congrès Américain, j’ai pu me rendre compte directement de quelle manière l’industrie pharmaceutique influence et contrôle nos représentants économiques et politiques au niveau du gouvernement. Les épidémies émergentes complètent les effets de la guerre politique contre le terrorisme, et correspondent à notre culture actuelle influencée par le bioterrorisme. Un tel programme secret répond à deux objectifs essentiels : la recherche du profit, et la réduction de la population mondiale.

Réalité politique, contre mythes véhiculés par les médias.

La folie croissante du monde qui nous entoure correspond étrangement aux recommandations des penseurs du Nouvel Ordre Mondial, qui favorisent les « désastres sans guerre. » De quoi s’agit-il exactement ?

Dès la fin des années 60, dans les principaux milieux industriels, on a commencé à réfléchir à des « substituts économiques à la guerre classique. » Comparés aux effets des première et seconde guerres mondiales, les dégâts qui pouvaient être provoqués par les désastres naturels, les super ouragans, les épidémies, ou la guerre bactériologique et génétique, ont commencé à apparaître comme politiquement et économiquement « rentables. » Ces « désastres sans guerre » étaient manifestement beaucoup plus « gérables » politiquement, et plus « rentables » économiquement. Pour ces raisons, et tout particulièrement pour leur rentabilité économique, les dirigeants politiques Anglo-Américains du Nouvel Ordre Mondial ont considéré ces « désastres sans guerre » comme des options de tout premier choix.

Par exemple, le protégé de Nelson Rockefeller, Henry Kissinger, en tant que Conseiller pour la Sécurité Nationale sous Richard Nixon, a dirigé en fait la politique extérieure des Etats-Unis, tout en considérant la réduction de la population mondiale comme une « nécessité » pour les Etats-Unis, la Grande-Bretagne et leurs alliés. C’est ce même Kissinger qui a été nommé par George W. Bush pour présider le comité d’enquête sur les événements du 11 septembre. Kissinger est pourtant un criminel de guerre avéré, qui avait ordonné au CIA de développer des armes bactériologiques, selon les archives du Congrès Américain de 1975. Parmi ces armes bactériologiques fabriquées par l’homme, il existe des germes bien plus mortels que celui de la grippe aviaire !

Par exemple, avant 1968, Kissinger ordonna une enquête concernant les agents bactériologiques synthétiques existants, qui pourraient être utilisés en matière de guerre bactériologique et de contrôle de la population mondiale. Or une équipe de chercheurs (O’Conner, Stewart, Kinard, Rauscher et d’autres), venait juste de fabriquer en laboratoire de nouveaux virus mutants de la grippe, capables de propager certains cancers (3). A l’occasion de ce programme, certains virus grippaux furent combinés artificiellement avec d’autres virus de la leucémie aiguë, pour fabriquer littéralement de nouveaux germes capables de répandre ce cancer à la vitesse d’une épidémie de grippe, par simple contact direct avec des personnes infectées. Ces mêmes chercheurs ont aussi manipulé des virus du cancer du poulet, un sarcome, pour les inoculer à des hommes et à des singes, afin de tester leur capacité à produire un cancer chez ces derniers. Raucher, et d’autres, ont aussi employé les radiations pour augmenter la puissance du virus du cancer du poulet. Ces faits scientifiques incroyables ont été officiellement reconnus, mais largement négligés par les principaux médias.

De même, l’Institut Londonien IOSS (Institute of Science in Society), a officiellement évoqué la possibilité que le virus de la pneumonie atypique ait été fabriqué en laboratoire. Il a posé la question suivante : « Est-il possible que des expériences de génie génétique aient pu créer le virus de la pneumonie atypique, même par inadvertance ? » Cette hypothèse n’a même pas été examinée par les experts virologues appelés pour aider à résoudre la crise, experts qui furent par la suite encensés par les sociétés pharmaceutiques soucieuses de produire les vaccins. Ceux qui habitent des maisons de verre n’ont pas l’habitude de jeter des pierres ! J’ajoute que l’IOSS aurait pu aussi examiner l’hypothèse d’une création intentionnelle du virus de la pneumonie atypique, dans leur étude censée être scientifique et objective (4).

Les « conflits sans guerre, » tels que la « guerre contre le SIDA, » la guerre contre la drogue, » la guerre contre le terrorisme, » la guerre contre le cancer, » et, à présent, la « guerre contre la grippe aviaire, » exigent des programmes très sophistiqués de propagande, ayant recours à des campagnes visant à stimuler la crainte au sein de l’opinion publique, afin qu’elle accepte et soutienne les lois supprimant les libertés publiques. Ces opérations psychologiques sont nécessaires pour contrôler ces conflits sans guerre, et constituent la caractéristique essentielle de la nouvelle « révolution militaire » en cours. Cette « révolution militaire » cherche à instaurer une nouvelle forme d’esclavage humain, par lequel les populations humaines ne se rendent même plus compte qu’elles sont soumises à un esclavage (2) !

Cette nouvelle « révolution militaire » fait appel, sans aucun doute, à des armes bactériologiques et chimiques très puissantes. Ces armes sont mises en œuvre par les fabricants de vaccins et de médicaments, pour leur plus grand profit. Il existe un exemple classique, celui des pesticides très toxiques et cancérigènes largement utilisés dans des zones habitées, sous prétexte d’éradiquer les moustiques responsables de la « fièvre du Nil. » Ces produits, selon les termes militaires, ne sont pas directement mortels. Mais ils agissent à long terme, en provoquant une mort lente par empoisonnement chronique, ce qui génère encore plus de profits pour les sociétés pharmaceutiques chargées d’inventer de nouveaux médicaments pour lutter contre ces maladies. Les victimes de ces campagnes d’éradication des moustiques meurent lentement de maladies chroniques débilitantes. Les centres de soins et les hôpitaux construits pour traiter ces malades ne sont que des camps de concentration virtuels.

Parmi toutes ces maladies nouvelles provoquées artificiellement figurent un grand nombre de maladies touchant le système immunitaire, ainsi que de nombreux cancers pratiquement inconnus il y a cinquante ans. Ce simple fait, à lui seul, suffit à suggérer l’existence d’un véritable génocide socio-économique programmé par certaines autorités politiques.

Une grippe aviaire qui rapporte !

Face à l’épidémie de pneumonie atypique, Michael Fumento, chercheur à l’Institut Hudson de Washington, a publié à Toronto une thèse économique, qui ressemble à celle que je développe dans cet article. Cette thèse a été publiée dans le Canadian National Post. On a demandé aux Canadiens de se mettre eux-mêmes en quarantaine, de porter des masques et, dans certains cas, de rester chez eux. Le Ministre de la santé de l’Ontario a décrété un « état d’urgence sanitaire, » alors que les médias parlaient de la « super pneumonie, cette tueuse mystérieuse. »

Refusant de se laisser gagner par cette hystérie, Fumento posait un certain nombre de vraies questions. Cette épidémie était-elle réellement aussi mortelle et aussi contagieuse qu’on le disait ? Il concluait en ces termes : « Les réponses à ces questions ne laissent aucune place à l’excitation, encore moins à la panique. » On pourrait en dire tout autant pour cette nouvelle épidémie de grippe aviaire (1).

Mortelle ?

A l’heure actuelle, le grippe aviaire serait responsable d’environ 65 décès dans toute l’Asie du Sud-Est, au cours des deux dernières années ! Encore connaît-on peu de faits précis sur les victimes, qui présentaient en général des troubles de leur système immunitaire. En outre, tous ces décès se sont produits dans des pays de l’Asie du Sud-Est dont les services sanitaires laissent beaucoup à désirer.

A titre de comparaison, les formes ordinaires de grippe tuent plus de 40.000 Américains chaque année, en général des personnes âgées au système immunitaire affaibli.

Contagieuse ?

Selon le magazine « USA Today » du 9 octobre 2005, « les services de santé européens travaillent à contenir le virus de la grippe aviaire qui, jusqu’à présent, n’a touché personne dans cette région du monde. » Cependant, plus de 140 millions de volatiles seraient déjà décédés ou auraient été supprimés. Les pertes financières, pour le secteur de la volaille, représentent déjà plus de dix milliards de dollars. Selon les termes de cette propagande, « le virus actuel, baptisé H5N1, n’a pas encore muté au point de pouvoir se transmettre facilement d’homme à homme. » En fait, il est probable que ce virus ne s’est jamais transmis d’homme à homme, si ce n’est au cours de manipulations de laboratoire (5) !

Difficile à soigner ?

Selon un rapport du « Business Week », « Le Sénat Américain a déjà voté un budget de 3,9 milliards de dollars pour acheter des vaccins et des médicaments antiviraux. Le gouvernement prépare aussi une nouvelle demande de crédits de 6 à 10 milliards de dollars. »

Y a-t-il réellement une vie intelligente sur notre planète ? La réponse à cette question permettrait d’expliquer pourquoi le public accepte aussi facilement de tels mensonges ! Même « USA Today » affirme « qu’il n’existe pas actuellement de vaccin pour l’homme. » Comment se fait-il donc que le Sénat Américain puisse voter dans la précipitation la dépense d’autant de milliards pour acheter un vaccin contre la grippe aviaire ?

Je suppose que nous devons négliger le fait que le virus H5N1 actuel ne s’est jamais transmis d’homme à homme, et qu’il ne s’est même pas non plus transmis très fréquemment des oiseaux aux hommes. Ainsi, un vaccin vraiment efficace ne pourrait être préparé qu’en faisant muter ce virus, et en provoquant justement ce que le monde craint le plus. Permettez-moi de m’expliquer.

Afin de fabriquer un vaccin spécifique contre un virus mutant H5N1 transmissible à l’homme, il faudrait tout d’abord que ce virus de la grippe aviaire transmissible à l’homme existe. Or, actuellement, ce virus n’existe pas, excepté peut-être dans quelques laboratoires du complexe militaro-médico-pharmaceutique. En fait, d’après les informations dont je dispose, c’est exactement ce qui est en train d’être préparé en secret. Afin de produire un virus transmissible à l’homme, il faut cultiver le virus de la grippe aviaire pendant assez longtemps, en le mélangeant à des cultures de cellules humaines. Il faut ensuite l’injecter à des singes, puis à des êtres humains, pour vérifier si ces sujets attrapent ce nouveau virus fabriqué en laboratoire.

Ainsi, ce nouveau virus que le monde craint tant est 1) soit en train d’être fabriqué dans des laboratoires financés par des industriels puissamment motivés à laisser « accidentellement » se répandre ce virus, 2) soit a déjà été fabriqué dans ces laboratoires, pour profiter de la panique mondiale actuelle, en prévision des énormes profits qui seront dégagés par la lutte contre ce virus.

Il faut savoir qu’un vaccin, pour être réellement efficace contre un virus, a besoin d’être spécifique. Si les autorités voulaient réellement répandre le virus humain de la grippe aviaire H5N1 à une certaine échéance future précise, elles n’auraient aucune garantie sérieuse que le vaccin produit en parallèle soit efficace à cette même échéance, compte tenu des mutations virales possibles. En effet, la rapidité des mutations virales dépend de la nouveauté du virus. Les nouveaux virus fabriqués par l’homme et créés en laboratoire, comme ceux qui sont actuellement fabriqués pour préparer un vaccin, sont beaucoup moins stables que ceux qui ont naturellement évolué au cours des millénaires.

C’est pour cette raison que tous les efforts actuels pour préparer un vaccin ne sont que de la poudre jetée aux yeux, et que les véritables motivations restent cachées.

Il faut aussi savoir que l’efficacité d’un vaccin exige des années, ou du moins des mois de contrôles et de vérifications au sein de la population visée. Pendant cette période, on doit soigneusement réunir toutes les informations sur les effets secondaires ou les accidents thérapeutiques provoqués par ce vaccin, afin de s’assurer qu’il ne tue pas, ou ne rende pas malades, plus de personnes que celles qu’il prétend sauver ! Pouvez-vous sérieusement croire que le gouvernement, ou l’industrie pharmaceutique, pourront réunir toutes ces garanties, au milieu de l’hystérie provoquée par cette « pandémie » ? La réaction désastreuse des autorités face à l’ouragan Katrina sera avantageusement comparée au désastre sanitaire et humanitaire certain provoqué par un vaccin mal testé et des mesures de santé publique inadaptées !

Je parle de désastre certain, parce que nous disposons de précédents. La liste est longue de vaccins préparés à la hâte, qui ont entraîné, une fois mis sur le marché, des conséquences humaines horribles. On peut citer le premier vaccin contre la peste porcine, les vaccins contre la polio, le vaccin contre la variole, le vaccin contre l’anthrax, le vaccin contre l’hépatite B et, plus récemment, le vaccin contre la maladie de Lyme, qui a handicapé près de 750.000 personnes en quelques mois, avant d’être retiré du marché par les autorités !

La plupart des gens ignorent que tous les vaccins comportent toute une série d’ingrédients qui sont potentiellement nuisibles pour la santé, et même mortels. On peut citer, parmi ces ingrédients, des produits chimiques toxiques comme le mercure, l’aluminium, le formaldéhyde et le formol (employés pour conserver les cadavres), des produits génétiques étrangers à l’homme, des protéines à haut risque issues de certaines espèces de bactéries, de virus ou d’animaux, et qui ont été scientifiquement associés au déclenchement de certaines maladies du système immunitaire ou de certains cancers. Nous disposons de plus en plus de faits scientifiques qui tendent à démontrer que les vaccins sont en grande partie responsables de nombreuses maladies, comme l’autisme, la fatigue chronique, la fibromyalgie, le lupus, la sclérose en plaques, l’arthrite rhumatoïde, l’asthme, le rhume des foins, les infections chroniques de l’oreille, le diabète de type 1, et bien d’autres maladies encore. Ces maladies chroniques et débilitantes nécessitent des traitements à long terme, qui eux-mêmes entraînent de nombreux effets secondaires. En réalité, la principale cause de mortalité en Amérique est représentée par les maladies iatrogéniques, c’est-à-dire les maladies produites par le système médical, ou contractées en son sein. Cela signifie que les vaccins, comme bien d’autres inventions de l’industrie pharmaceutique, handicapent et tuent littéralement des millions de personnes, sans que ni le gouvernement ni l’industrie n’interviennent pour arrêter ce fléau.

D’après tout ce que nous savons, ce sont les gouvernements qui sont en train de fabriquer un vaccin contre la grippe aviaire, dont l’effet sera précisément de répandre cette pandémie dans le monde entier, afin de réduire la population mondiale. Cette hypothèse vous semble-t-elle absurde ? Lisez donc la suite.

Business Week pense que l’accumulation de vaccins par les gouvernements ne peut que profiter aux sociétés pharmaceutiques, comme Sanofi-Pasteur, Sanofi-Aventis ou Chiron. On considère que le Tamiflu, un antivirus fabriqué par Roche, serait efficace contre la grippe aviaire. Les Etats-Unis possèdent déjà 4,3 millions de doses de Tamiflu, et d’autres commandes dont en cours. Voici toutefois ce que Business Week n’a pas révélé :
L’efficacité et l’innocuité du Tamiflu n’ont pas été prouvées pour ce qui concerne les populations souffrant de maladies chroniques, ce qui est le cas d’une bonne partie de la population américaine. Il faut aussi noter que ce médicament provoque de nombreux effets secondaires : nausées, vomissements, diarrhées, bronchite, douleurs gastriques, étourdissements, mots de tête, etc, etc…
En 1999, les Laboratoires Roche (Hoffman-LaRoche) ont été reconnus coupables de malversations en ce qui concerne la fourniture de vitamines sur le marché mondial. Roche appartient à un cartel pétrochimique et pharmaceutique issu de l’I.G. Farben, l’un des piliers industriels de l’Allemagne Nazie (2) (6).
L’un des partenaires industriels de Sanofi-Aventis est la Société Merck. Cette entreprise avait reçu la part du lion, lors de la distribution des dépouilles de l’économie nazie, à la fin de la deuxième guerre mondiale. Le chiffre d’affaires de la Société Merck a fortement chuté l’an dernier, quand elle a dû retirer du marché l’un de ses médicaments de lutte contre l’arthrite, le Vioxx, aux effets dévastateurs. Selon des rapports récents, Merck et Sanofi-Aventis travaillent actuellement à produire le premier vaccin contre un cancer sexuellement transmissible, vaccin destiné aux adolescents (7). Merck est aussi tristement célèbre pour avoir produit le premier vaccin contre l’hépatite B, responsable du déclenchement l’épidémie de SIDA, selon des rapports scientifiques que j’ai publiés dans l’un de mes livres, qui est actuellement un best-seller (3) (8).

Au cours des semaines et des mois qui ont suivi les attaques du 11 septembre aux Etats-Unis, j’ai réussi à démontrer que les courriers contenant de l’anthrax provenaient d’entreprises qui produisent des armes bactériologiques, qui avaient conclu des contrats avec la CIA, et qui avaient aussi des liens avec les services secrets anglais, ainsi qu’avec ce même cartel pharmaceutique Anglo-Américain déjà cité (9).

Ces courriers chargés d’anthrax avaient provoqué dans toute l’Amérique une vive crainte du terrorisme bactériologique, qui a profité largement aux fabricants de vaccins et de produits pharmaceutiques, les mêmes qui sont aujourd’hui associés à tous ceux qui profitent de la grippe aviaire (10).

Confrontés à de telles craintes, la plupart des gens n’hésitent pas à renoncer à leurs droits civiques et à leurs libertés individuelles. En Amérique, le vote de la loi scandaleuse sur la Sécurité Nationale (Home Security Act), ainsi que d’une loi similaire au Canada, sont des exemples classiques de cette dérive sociale, et de cette manipulation à grande échelle aboutissant à une législation forcée.

Pourquoi l’Asie ?

Au moment où les relations entre la Chine, d’une part, et la Grande-Bretagne et les Etats-Unis, d’autre part, sont assez tendues, pour ne pas dire plus, il est assez opportun que cette grippe aviaire provienne d’Asie, tout comme la récente pneumonie atypique.

Juste avant les premiers cas de pneumonie atypique, les Américains ont dû faire face à une escalade d’agressions dans la péninsule de Corée. La Chine communiste, pourtant déclarée « partenaire commercial privilégié » de l’Amérique, est politiquement alliée avec plusieurs ennemis de l’Amérique, y compris ceux qui, à l’époque, étaient censés posséder des armes de destruction massive, comme l’Irak.

Etait-ce une coïncidence ? Vraisemblablement pas, quand on considère l’oligarchie Anglo-Américaine, ses entreprises multinationales, et ses « conflits sans guerre » artificiellement provoqués.

Considérez aussi le fait que les principaux médias étaient fortement influencés, si ce n’est complètement contrôlés, par leurs commanditaires multinationaux, qui défendaient les intérêts d’un nombre relativement restreint d’entreprises et d’organismes multinationaux.

N’oubliez pas non plus que les fournisseurs d’informations suivent les directives des services de renseignements, si l’on en croit le témoignage respectable de très nombreux fonctionnaires et agents de renseignements à la retraite. Il serait donc bon que vous vous posiez les questions intelligentes suivantes, et que vous y apportiez une réponse :
Pourquoi les hauts responsables de la Défense Américaine, à commencer par William Cohen, Secrétaire à la Défense sous Bill Clinton, ont-ils fait autant de publicité à la prétendue vulnérabilité des Etats-Unis en matière de terrorisme bactériologique ? N’est-ce pas une forme de haute trahison à l’égard des Etats-Unis, que de dévoiler dans la presse des « secrets défense » aussi importants, qui pouvaient être exploités par les ennemis potentiels de notre pays ?
Pourquoi les principaux médias continuent-ils à prédire l’arrivée d’une pandémie mondiale causée par un virus grippal humain, qui provoquera des millions de morts, comme la « grippe espagnole » en 1918-1919 ? Pourquoi ces mêmes médias ne parlent-ils pas des faits indubitables concernant les individus, les organisations ou les laboratoires qui travaillent à produire ces agents de destruction massive ? On a même tout fait pour « déterrer » le virus de la grippe espagnole, soi-disant pour l’étudier et, éventuellement, le répandre à nouveau !
Pourquoi dit-on que le virus de la grippe espagnole est-il apparu au Tibet en 1917, d’après les données historiques officielles ? On a raconté que les journaux espagnols avaient été les seuls à publier des articles concernant cette grande épidémie, en raison de leur neutralité au cours de la première guerre mondiale. Toutefois, les relations entre l’Espagne et les Etats-Unis, à l’époque, n’étaient pas meilleures que les relations entre la Chine communiste et les Etats-Unis aujourd’hui. On avait décidé de baptiser cette épidémie « grippe espagnole », suite à deux décennies de disputes entre l’Amérique et l’Espagne, à propos de la colonisation des Caraïbes, de Hawaii et des Philippines, après la guerre hispano-américaine, qui s’était terminée en 1902 aux Philippines. En fait, la grippe espagnole avait commencé dans des camps militaires. L’Histoire n’est-elle pas en train de se répéter ?
N’est-il pas clair que l’Amérique est en train d’être manipulée, et qu’elle est sans doute la victime des planificateurs du Nouvel Ordre Mondial ? N’oubliez pas que l’une des priorités de ces planificateurs est la réduction de la population mondiale !

La grande pandémie annoncée.

J’affirme à nouveau qu’au cours des années 60 et 70, des laboratoires militaires étroitement associés à l’industrie pharmaceutique ont fabriqué des virus mutants de la grippe, et les ont combinés avec des virus de la leucémie aiguë. En d’autres termes, ils ont amassé des quantités considérables de virus de la leucémie, aussi contagieux que celui de la grippe (3).

Par ailleurs, de nombreux experts des maladies infectieuses ou hauts responsables de la santé publique, apparemment oublieux de cette réalité scientifique, affirment que la grippe aviaire actuelle pourrait être la « grande pandémie » prédite. Il y a quelques jours, les Nations Unies ont publié un rapport déclarant que 150 millions de personnes dans le monde pourraient mourir de cette grippe aviaire.

Emma Ross, journaliste à l’Associated Press, avait publié des articles sur la manière dont l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) avait lancé son « plan de crise pour éradiquer l’épidémie de pneumonie atypique ». Vous savez sans doute que l’OMS est l’une des organisations qui dépendent de l’ONU, et qu’elle a été accusée de répandre le SIDA en Afrique, sous couvert de campagnes de vaccination contre l’hépatite B et la poliomyélite. Il existe un certain nombre de faits précis qui étayent cette accusation (1).

Il est troublant de savoir que les Nations Unies sont très fortement influencées par certains membres de la famille Rockefeller, qui possèdent des intérêts dans les industries pétrochimique et pharmaceutique. On sait que le siège des Nations Unies à New York a été construit grâce à la fortune des Rockefeller. Au cours de la seconde guerre mondiale, ce sont encore les Rockefeller, ainsi que leur « Standard Oil Company », qui ont soutenu Hitler, bien plus que les Alliés. Cela a été reconnu devant les tribunaux. Un juge fédéral a décidé que Rockefeller avait commis une « trahison » envers les Etats-Unis.

Après la seconde guerre mondiale, selon l’avocat John Loftus, enquêteur officiel sur les crimes nazis, Nelson Rockefeller a persuadé les nations Sud-Américaines de voter en faveur de la création de l’Etat d’Israël, dans le seul but de détourner l’attention du fait qu’il avait soutenu les Nazis.

John D. Rockefeller s’est joint à Prescott Bush (le grand-père de George W. Bush), ainsi qu’à la famille royale anglaise, pour financer les initiatives « d’amélioration de la race » qui ont donné naissance aux programmes « eugéniques » d’Adolf Hitler. Au cours de cette même période, la famille Rockefeller a pratiquement monopolisé l’industrie pharmaceutique américaine, ainsi que les laboratoires de lutte contre le cancer et de recherche génétique (2) (3).

Aujourd’hui, la famille Rockefeller, la Fondation Rockefeller, les Nations Unies et l’OMS sont responsables de « programmes démographiques » visant à réduire la population mondiale à un niveau jugé plus « acceptable ». Comme l’a écrit « Foreign Affairs », un périodique politique prestigieux publié par le CFR (Council on Foreign Relations), dirigé par David Rockefeller, l’objectif serait de réduire la population des Etats-Unis de 50 % (2).

Davis Heymann, de l’OMS, avait déclaré, à propos de la pneumonie atypique : « Nous n’avons jamais rencontré une épidémie aussi généralisée, à une aussi grande échelle. »

Le Docteur Klaus Stohr, virologue de l’OMS en charge de la coordination internationale des laboratoires, avait ajouté : « C’est la première fois qu’un réseau mondial de laboratoires échange ainsi des informations, des échantillons, des prélèvements sanguins et des images. Il n’y a plus de secrets, plus de jalousie, ni de compétition, face à une telle urgence sanitaire mondiale. C’est un réseau phénoménal ! » (1).

Ces réseaux de surveillance des maladies infectieuses sont encore contrôlés par les Rockefeller !

A propos de l’auteur :

Le Docteur Leonard Horowitz est un expert international en matière de santé publique, de sciences du comportement, de maladies nouvelles et de terrorisme bactériologique. Diplômé de Harvard, il est membre de l’équipe de chercheurs de cette université. Il est connu pour plusieurs livres à succès, dont un best-seller : « Emerging Viruses : AIDS & Ebola – Nature, Accident or Intentional ? » (Les virus émergents, SIDA et Ebola – Naturels, accidentels ou intentionnels ?) Ce livre a permis l’ouverture d’une enquête officielle aux Etats-Unis pour vérifier les hypothèses avancées par le Dr Horowitz.

Les travaux du Dr Horowitz concernant les risques associés aux vaccinations ont poussé au moins trois pays du Tiers-Monde de modifier leurs politiques en matière de vaccination. Le Dr Horowitz a eu l’occasion de donner un témoignage retentissant devant le Sénat des Etats-Unis.

Une semaine avant les attentats à l’anthrax, le Dr Horowitz avait officiellement averti le FBI de cette menace précise, mais il n’avait pas été écouté.

Trois mois avant les attaques du 11 septembre, le Dr Horowitz avait publié son treizième livre, intitulé, d’une manière plutôt prophétique : « Death in the Air : Globalism, Terrorism and Toxic Warfare » (Mort dans l’air : Mondialisation, Terrorisme et Guerre bactériologique). Dans ce livre, le Dr Horowitz s’en prend au « cartel pétrolier et pharmaceutique, » qu’il accuse de préparer un nouveau génocide programmé.

Notes :

1) Horowitz LG. SARS (Severe Acute Respiratory Syndrome) : A Great Global Scam. Available at : [www.healingcelebrations.com]

2) Horowitz LG. Death in the Air : Globalism, Terrorism and Toxic Warfare.

Sandpoint, ID : Tetrahedron Publishing Group, (Spring) 2001.

3) Horowitz LG. Emerging Viruses: AIDS & Ebola, Nature, Accident or Intentional ? Sandpoint, ID : Tetrahedron Publishing Group, (Spring) 2001.

4) The Institute of Science in Society. SARS and Genetic Engineering ?

London, England. Article available at :

[www.tetrahedron.org]

5) Knox N. Europe braces for avian flu. USA TODAY, October 9, 2005 ; Manning A Government to stock up on avian flu shots. USA Today, Oct 8, 2005.

6) Wang P. Avian Flu: Inoculate Your Portfolio. BusinessWeek. Online edition. Available at : [www.businessweek.com]

7) CNNMoney. Merck shares jump on cancer drug vaccine. October 6, 2005.

Available at : [money.cnn.com]

8) For more scientific background on the link between the hepatitis B vaccine and the AIDS pandemic link to [www.originofAIDS.com].

9) Horowitz LG. The CIA’s Role in the Anthrax Mailings : Could Our Spies be Agents for Military-Industrial Sabotage, Terrorism, and Even Population Control ? A Special Report. Article available at :

[www.tetrahedron.org]

10) Horowitz LG. DNA : Pirates of the Sacred Spiral. Sandpoint, ID :

Tetrahedron Publishing Group, 2004.

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Nous avons à faire à des déments, il n’y a pas d’autres termes pour qualifier des gens capables de programmer de telles horreurs !

 

Re: Mon Dieu, quelle horreur ! suite
Envoyé par : jacques
Date : ven 14 mars 2008 17:29:29

 

Extrait de l’éditorial du n° 81 (avril 2006) de la très sérieuse revue médicale DSALUD, par José Antonio Campoy :

Savez-vous que le virus de la grippe aviaire H5N1 fut découvert au Vietnam il y à neuf ans ?

* Savez-vous que jusqu’à présent seulement100 personnes en sont mortes dans le monde durant ces 9 années?

* Savez-vous que ce sont les Américains qui annoncèrent que le TAMIFLU (antivirus humain) avait une réelle efficacité préventive ?

* Savez-vous que le TAMIFLU n’a qu’une efficacité très relative sur les grippes communes?

* Savez-vous que cette efficacité même est contestée par la grande majorité de la communauté scientifique ?

* Savez-vous que face à un éventuel virus tel que le H5N1 le TAMIFLU n’aurait qu’une très faible efficacité ?

* Savez-vous que jusqu’à présent la grippe aviaire n’affecte que les oiseaux ?

* Savez-vous qui commercialise le TAMIFLU ? Les Laboratoires ROCHE !

* Savez-vous que les Laboratoires ROCHE avaient acheté la licence du TAMIFLU à la Société GILEAD SCIENCES INC. en 1996?

* Savez-vous qui était Président de la GILEAD SCIENCES INC. en 1996 ? Donald Rumsfeld, actuel secrétaire de la défense des USA.

* Savez-vous quele composant de base du TAMIFLU est la badiane ou anis étoilé (une simple tisane contre les digestions difficiles et les flatulences) ?

* Savez-vous que les laboratoires Roche se sont assurés les 90% de la production mondiale de cette culture chinoise (Illicium verum)?

* Savez-vous que lesventes de TAMIFLU sont passées de 254 millions US$ en 2004 à plus de 100 000 millions US$ en 2005 ?

* Savez-vous combien Roche espère gagner dans les prochains mois avec ce négoce de la peur ?

Pour résumer, on peut dire les choses de la façon suivante : les USA ont décidé que le TAMIFLU – d’une efficacité contestée contre les grippes ordinaires – était la panacée contre une pandémie non déclarée (100 morts humains en 9 ans dans le monde entier). Ainsi les laboratoires ROCHE monopolisent-ils la production mondiale de badiane et versent-ils d’énormes redevances à la GILEAD SCIENCES INC. dont D. Rumsfeld est le plus gros actionnaire.

Les gouvernements du monde entier agitent l’épouvantail de la pandémie et achètent massivement à Roche un produit qu’on peut presque assimiler à un placebo. Nous payons des sommes énormes pour être soi-disant protégés d’une maladie non déclarée… Mais nous faisons la fortune de Monsieur Rumsfeld.

[www.voxdei.org]

Téléchargez ce document et vous comprendrez les intérêts de certains dans l’industrie pharmaceutique [asthme-reality.com] lisez ce document en étant assis.

 

Re: Mon Dieu, quelle horreur !
Envoyé par : jacques
Date : sam 15 mars 2008 13:34:00

 

Andrew Strom

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LA GRIPPE AVIAIRE ET VOUS

Par Stratfor & Investors Insight Publishing. (Oct 31).Nous avons été beaucoup sollicités par nos abonnés pour donner notre opinion sur le sujet de la grippe aviaire. Bien que nous ne soyons pas de experts médicaux, certaines de nos sources le sont. Voici ce que nous avons pu conclure suite à leurs commentaires et à notre analyse plus générale de la menace de la grippe aviaire :

CALMONS-NOUS

Il faut tout de même être clairs : depuis décembre 2003, le virus H5N1 de la grippe aviaire – à l’origine de tout ce grabuge – a causé l’infection de 121 personnes dont 91 au VietNam. Dans tous les cas où la chaîne de l’infection a pu être confirmée, le virus a été transmis soit par des contacts répétés avec des volatiles soit avec l’ingestion de poulet insuffisamment cuit. Aucun cas de contagion d’un humain par un humain n’a été confirmé. Du moment que cela reste le cas, la grippe aviaire ne pose aucune menace à la population en général au VietNam, et encore moins, aux Etats-Unis.

LES HABITUDES DU MILIEU DE LA RECHERCHE GENETIQUE

C’est un fait incontestable, bien que désagréable, qu’il y a énormément de personnes et d’institutions mondiales qui ont un intérêt particulier à encourager la frayeur de la grippe aviaire. Tout comme pour le virus « Y2K » qui a été très remarqué en 1999, on n’entend parler que de grippe aviaire. Des comparaisons avec l’épidémie de grippe espagnole de 1918 ont permis d’établir des projections de courbes de mortalité dépassant 360 millions de morts, suggérant par conséquent des images de chaos dans la rue.

…/…

On ne reçoit pas de fonds – que ce soit pour la recherche académique ou médicale ou préventive –en postulant des scénarios favorables. La stratégie acceptée est de mettre en exergue les scénarios les plus catastrophiques et d’affoler les bienfaiteurs visés pour qu’ils vous paient à étudier le problème et à trouver des solutions.

…/… lire la suite [www.voxdei.org]

Question : pourquoi une expédition est elle allé déterrer des personnes mortes de la grippe espagnole, dans une région proche du Pôle qui avait préservé les tissus de la décomposition classique. les chercheurs ont donc ramené des échantillons de ce virus ayant causé pratiquent 100 millions de morts (tiens, autant que l’idéologie communiste !).

Il y a trop de monde sur cette planète, enfin pour ceux qui la dirigent et en plus, la plus grande partie des richesses du sous sol sont dans des pays de « bougnoules » où grouille une population miséreuse qui se reproduit à toute vitesse pour compenser ses pertes naturelles. Alors, en cas de pandémie, on pourra protéger les populations « dominantes » tout en laissant le virus nettoyer les terrains convoités.

J’ai toujours été intimement convaincu que le vaccin anti-grippe n’était qu’une fumisterie destiné à faire rentrer du fric dans les poches des laboratoires et des pharmacies qui sont leurs distributeurs « obligés ».

En effet, comment prévoir les mutations d’un virus qui fait le tour de la planète avant de revenir chez nous, totalement différent de l’an passé.

Ils sont vraiment forts les « savants » capables de prévoie ça !

Alors on bidouille un peu les gégènes du virus, pour dire qu’il a muté, on prépare activement le vaccin, on bourre les stocks et … que fait on des souches mutées ?

On les détruit ou on va les vaporiser au dessus d’un petit village de France, justement la où se déclencheront les premiers cas de cette fameuse grippe ?

Les premiers cas signalés, tout le monde se précipite sur les vaccins. Beaucoup attrapent quand même la grippe, à mon avis la vraie, celle qui revient de l’an passé, sont malades comme des chiens mais disent « heureusement que j’avais été vacciné, sinon j’en serai mort ».

Le juteux commerce de la peur, meilleur encore que le commerce des armes …

Monsieur Chirac, grand ami de Mérieux, qui lui a financé toutes ses campagnes politiques n’allait pas prendre des mesures pouvant faire tort à son ami de toujours, avec en plus Madame, qui à ce que l’on m’a rapporté serait une des plus grosse actionnaire de cette boite à vaccins.

Comment voudriez vous que des gens comme ça, fasse quoi que ce soit pour des médecines naturelles, ils s’en battent l’oeil, c’est pas du tout dans leurs intérêts !

Ne riez pas, le successeur en fera autant, il suffit de mettre un peu le nez dans les fonctions de son « frangin » ;o)

Le commerce de la peur [asthme-reality.com] et de la délation [asthme-reality.com] et la manipulation de la population [asthme-reality.com] !

jacques

 

Grippe : une souche résistante au Tamiflu dépistée au CHUL
Envoyé par : jacques
Date : jeu 27 mars 2008 20:27:26

 

Le jeudi 20 mars 2008

Grippe : une souche résistante au Tamiflu dépistée au CHULPour la première fois depuis la mise en marché du Tamiflu, les chercheurs de plusieurs pays ont trouvé des souches du virus de la grippe qui résistent à ce médicament. À Québec, le Dr Guy Boivin en a trouvé parmi les prélèvements testés dans son laboratoire du CHUL.

Louise Lemieux

Le Soleil

Québec

Une souche du virus grippal résistante au Tamiflu, le meilleur médicament pour soigner la grippe, a été dépistée à Québec le mois dernier. Une surprise pour le microbiologiste Guy Boivin, spécialiste des virus de la grippe.

«Habituellement, c’est moins de 1 % des virus qui sont résistants au Tamiflu. Cette année, on en a trouvé partout dans le monde. C’est une surprise. D’autant plus qu’il n’y a pas eu augmentation du nombre d’ordonnances du Tamiflu. D’où sont parties ces mutations? Comment s’est transmise cette nouvelle souche? On ne sait pas», constate le Dr Guy Boivin, directeur du centre de recherche en infectiologie du CHUL. Son laboratoire est le seul au Québec à tester les virus de la grippe.

En février, sur les 25 souches de virus testées dans le laboratoire du Dr Boivin, deux étaient résistantes au Tamiflu. Cela donne un taux de résistance de 10 %. En France, ce taux est de 40 % et de 20 % dans l’ensemble de l’Europe.

C’est d’abord en Scandinavie que les chercheurs ont trouvé des souches de virus grippal résistantes au Tamiflu, explique le Dr Boivin. «Ce fut une grande surprise pour les chercheurs. D’autant plus qu’on ne pouvait relier cette résistance à une prescription accrue du médicament.»

Seulement deux choix

Le Tamiflu est le médicament de choix pour soigner la grippe. C’est aussi celui qui a été mis en réserve par le gouvernement du Canada et celui du Québec en cas de pandémie de grippe aviaire.

Pour soigner les bactéries, les antibiotiques sont nombreux. Ce n’est pas le cas pour les virus. Seulement deux médicaments antiviraux sont connus contre la grippe : le Tamiflu (en comprimés) et le Relenza (en inhalateur). Ce dernier est moins pratique. Les personnes âgées ont plus de mal à l’aspirer. Et il ne peut être prescrit aux enfants de moins de sept ans.

Pour un individu en bonne santé, que la souche du virus soit résistante ou non au Tamiflu n’a pas d’importance, précise le Dr Boivin. Le malade guérira en sept jours sans médication.

Par contre, les malades immunosupprimés comme les greffés et les cancéreux n’ont plus qu’un seul médicament à leur disposion en cas de grippe : le Relenza.

Même chose en cas d’éclosion de cette souche dans un CHSLD, par exemple. Ou en cas de pandémie.

Selon le Dr Boivin, le Tamiflu constitue 90 % des réserves au Canada et au Québec contre 10 % de Relenza. En Europe, les réserves sont constituées pour la moitié des deux médicaments, sur le marché depuis moins de cinq ans.

 

Re: Mon Dieu, quelle horreur !
Envoyé par : jacques
Date : mar 8 avril 2008 01:17:53

 

[www.lepoint.fr]

Quand la grippe aviaire frappera…

Epidémie
17/01/2007 – © Le Point

Pour se protéger d’une grave épidémie, la société doit employer les grands moyens, avec un seul objectif : la sauvegarde du groupe, parfois au détriment de l’individu.

S i une épidémie de grippe aviaire venait à ravager la France, préparez-vous à quelques surprises. En particulier de la part des autorités médicales et sanitaires, auprès desquelles vous auriez pourtant, dans la panique, le réflexe de vous réfugier. Oui, car, en cas de pandémie, « les professionnels de la santé seront amenés à protéger le groupe plus que l’individu », selon la formule inquiétante du docteur Xavier Emmanuelli, anesthésiste-réanimateur et président du Samu social.

En temps normal, la règle veut qu’on s’occupe classiquement en priorité des malades les plus atteints, des patients les plus fragiles ou de ceux qui sont arrivés les premiers dans la salle d’attente. Face à une pandémie capable d’atteindre une grande partie du globe, tout est différent. Les malades seront, certes, sélectionnés en fonction de leurs chances de s’en sortir mais, à gravité égale, il faudra bien faire intervenir d’autres critères, car on ne pourra pas soigner tout le monde. Les spécialistes devront alors appliquer ce qu’on appelle le « principe d’efficacité et de performance ». Un euphémisme qui masque une véritable tragédie morale : il faudra sauver en priorité les vies les plus « utiles ». Comme celles des professionnels indispensables au fonctionnement de la société. Autrement dit, si vous êtes un adulte jeune, que vous avez des diplômes, un métier et des enfants, on s’occupera mieux de vous que si vous êtes une personne âgée, un enfant ou un chômeur… On n’aimerait pas être à la place du médecin qui devra, devant une foule se pressant dans le hall de son hôpital, indiquer les personnes qui pourront avoir accès aux lits de réanimation et celles qu’on enverra dans un centre de quarantaine, même si elles ont manifestement besoin de soins hospitaliers intensifs. Comme le dit Xavier Emmanuelli, « le triage n’est pas éthique »… Et pourtant ce sera bel et bien, face à une pandémie, la mission des personnels de santé et des autorités sanitaires.

Définir les priorités. c’est pour réfléchir à tous les problèmes qui ne manqueront pas de se poser si une épidémie déferlait en France que le ministère de la santé organise, vendredi 15 septembre, un colloque national intitulé « Ethique et pandémie grippale ». Des experts y discuteront de la restriction des libertés individuelles en cas d’épidémie, de la mobilisation de la recherche ou encore de l’attitude envers le monde animal.Et bien sûr des méthodes de traitement. De ce côté, il faudra probablement gérer la pénurie. Car même si le ministère de la santé a pris le soin de constituer des stocks importants de médicaments antiviraux, il n’y en aura pas pour tout le monde. Faudra-t-il les réserver strictement aux malades ou en prescrire « à titre préventif » aux personnes les plus exposées ? « Notre grand principe d’équité, qui implique la répartition des biens disponibles entre tous, correspond à l’éthique, mais il est peu performant en temps de crise et sans intérêt pour la collectivité », estime le professeur Bernard Régnier, chef du service de réanimation médicale et infectieuse au CHU Bichat-Claude-Bernard, à Paris.

Il faudra aussi définir des priorités pour les vaccins. Et les imposer dès que les premiers produits adaptés arriveront sur le marché, soit après quatre à six mois d’attente ! Les tentatives de passe-droit et les pressions en tout genre vont alors se multiplier. Tous les experts qui réfléchissent aux conséquences d’une épidémie grippale sévère – et notamment le professeur Didier Houssin, directeur général de la santé et délégué interministériel à la lutte contre la grippe aviaire – sont conscients du travail qu’il reste à fournir pour espérer que ces principes soient socialement acceptés et respectés. Cela suppose une très large participation des responsables politiques et des décideurs, mais aussi de tous les principaux acteurs et des citoyens. D’où le projet de multiplier les réunions d’information et de sensibilisation dans tout le pays, ainsi que de rappeler régulièrement les droits et aussi les devoirs de chacun. Le moment venu, « les professionnels de santé se montreront à la hauteur », Xavier Emmanuelli en est convaincu. Bernard Régnier, lui, en est moins sûr : « On trouve encore de l’abnégation et de l’héroïsme chez les médecins des pays en voie de développement, mais, dans les pays industrialisés, la mentalité a changé , s’inquiète-t-il. Les récentes épidémies de Sras l’ont montré. »

Mais ce sont surtout les réactions du reste de la population, donc de la majorité des Français, qui inquiètent les responsables. Plusieurs types de comportements vont émerger : il y aura les altruistes ou les égoïstes, les incrédules ou les accablés, les obéissants ou les rebelles. Sans que l’on sache à l’avance comment nos proches et nous-mêmes allons nous comporter. Certains sont transcendés par l’imminence du danger et risquent d’en faire trop. « Il faut toujours craindre les bonnes volontés spontanées, les gens qui prennent des initiatives et qui contestent les décisions des autorités sanitaires , dit le docteur Emmanuelli. Franchement, je ne vois pas comment, dans un pays démocratique comme le nôtre, on pourra imposer une nouvelle hiérarchie des priorités, empêcher certains comportements, tout en restant dans l’éthique. Ni qui va garantir cela. »

Manque de repères. Pas facile de se préparer à affronter une épidémie. A fortiori de grippe aviaire, puisque l’on ne connaît pas encore précisément notre futur ennemi (le virus qui aura réussi à passer de l’animal à l’homme puis à se propager d’homme à homme), ni sa dangerosité exacte. « On manque de repères , admet le professeur Régnier. Actuellement, il y a eu moins de 250 cas humains de H5N1 dans le monde, avec une mortalité de l’ordre de 55 à 60 %, bien supérieure à celle de la grippe saisonnière. Mais il est possible que les cas les moins graves n’aient jamais été déclarés. Que des patients aient spontanément guéri. Ce qui fausserait les statistiques. Il est probable aussi que les personnes qui sont décédées dans des régions sous-médicalisées auraient pu survivre si elles avaient bénéficié de soins plus performants. »

D’où cette dernière question, encore plus compliquée : est-il justifié d’investir des sommes énormes en prévention d’une catastrophe qui ne se produira peut-être jamais ? Devant ce dilemme éthico-économique, les experts soupirent : « on nous reprochera toujours d’en avoir fait trop, si rien n’arrive, et pas assez si le scénario noir se produit. » Ils sont décidés à explorer toutes les hypothèses, à affiner toutes les stratégies de lutte, pour que ces dépenses n’aient pas été vaines, quel que soit le nouveau type de crise sanitaire que l’on aura immanquablement, un jour ou l’autre, à surmonter

Le redoutable virus espagnol

L e spectre de la grippe espagnole hante toujours les responsables de santé publique, et il y a de quoi : 1 milliard de personnes contaminées et entre 25 et 40 millions de morts dans le monde (plus de 500 000 en France). Apparue en Chine en 1918, elle a envahi l’Europe et l’Amérique. Certains attribuent son nom au fait que les premiers décès ont été publiés dans la presse espagnole. D’autres au fait que l’une de ses plus illustres victimes a été le roi d’Espagne.

Le virus pouvait se transmettre en une seconde et tuer en une journée. Dans un village corse, il a suffi qu’une famille veuille embrasser une dernière fois un parent décédé de la maladie pour contaminer de nombreux proches venus aux obsèques et toucher finalement 600 personnes. Bilan : 54 morts Anne Jeanblanc

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On commence à préparer les populations …

La mycobactérie portant un dérivé du bagage génétique de la grippe espagnole, virus récupéré dans le grand nord sur un homme conservé par le froid est en cours de développement.

Le vaccin qui permettra de s’en protéger sera produit à partir de cette mycobactérie résitant à tous les antibiotiques.

Puis la souche sera répandue dans l’atmosphère au dessus de pays pauvres pour déclencher la pandémie dans de bonnes conditions.

On vaccinera l’élite dans chaque pays, comme il est prévu dans cet article, les autres considérés comme peu intéressants, comme les personnes âgées qui sont une charge pour les sociétés crèveront très rapidement.

Ce ne sont pas les 13 millions de doses de tamiflu achetées par Douste Blazy avant de quitter son poste à la santé qui pourront protéger 60 millions de personnes en France ; surtout que les virus commencent à devenir résistants au tamiflu, source canadienne.

Il se prépare bien quelque chose, on en parle trop, alors que cette forme de grippe animale a tué moins de 100 personnes en 9 ans ….

Quel avenir !!!

 

Re: Mon Dieu, quelle horreur !
Envoyé par : jacques
Date : mer 30 avril 2008 23:11:39

 

Ca se prépare de façon certaine, il suffit de voir le travail qui se fait à l’aide des médias en jouant, comme toujours, sur les peurs.

Que ferait le Gvt. en cas de pandémie, utiliserait-il les quelques millions de doses de Tamiflu achetées par Douste Blazy avant que quitter sa place à la santé ?

Pour un virus qui a tué environ 120 personnes en 10 ans, ne trouvez vous pas ça curieux une telle « promotion pandémique ».

On doit pas être très loin de la réussite d’un vaccin concernant une souche de mycoplasme bricolé avec la souche de la grippe espagnole.Il est vrai que les pauvres font chier !

Il faut toujours leur venir en aide, leur fournir de la nourriture, des soins, de la flotte, etc. Rassurez vous, sur le plan spirituel, ils ne manquent de rien, les émirats leur ont construit de splendides mosquées pour oublier la faim qui leur tenaille les tripes ! Bon, pendant que les uns crèvent de faim, les autres défèquent dans les chiottes en or massif de leurs Boeings personnels … ils ont au moins de quoi chier, eux, avec ce qu’ils bouffent chaque jour !

Ca coûte très cher en pétrole pour acheminer tout ça, en plus, dans le sous-sol des pays pauvres, ça regorge de matières premières précieuses pour le monde industrialisé.

La solution c’est pas de continuer à leur venir en aide et à inonder de dollars les dictateurs sanguinaires en place, mais de balancer une bonne pandémie qui les fera tous crever. Du moment que les pays riches pourront se payer les vaccins !!!

Ne riez pas, lisez la fin de l’article « la trésorerie générale s’assure par exemple que les distributeurs d’argent sont bien alimentés ». On n’oublie surtout pas d’alimenter les distributeurs de billets, afin d’éviter des émeutes avec ceux qui ne pourraient pas se ruer dans les pharmacies … qui seront très certainement alimentées et protégées par l’armée.

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La grippe aviaire pour de faux

[www.20minutes.fr]

Le virus H5N1 est transmissible à l’homme et contagieux, il a déjà tué 150 personnes en Haute-Garonne et 13 852 malades sont recensés. C’est le scénario catastrophe élaboré par l’Etat pour simuler durant deux jours une pandémie grippale sur le département. Débuté hier, cet exercice mobilise notamment des établissements scolaires, parmi lesquels le lycée de Saint-Orens, réquisitionné pour être transformé en centre de consultation et de coordination sanitaire et social. Si la réalité devait rattraper la fiction, les élèves resteraient chez eux et ses locaux accueilleraient alors des patients. Equipés de masques de protection, certains lycéens se sont prêtés au jeu de rôle grandeur nature, transformés pour un jour en patients contaminés. « Je devrais assurer la continuité pédagogique, gérer la coordination des différents centres de consultation du secteur, mais aussi faire face à l’approvisionnement en médicaments ou encore en matériel », explique leur proviseur Pierre Donadieu. A la préfecture, la cellule de crise coordonne l’ensemble des services. « L’armée gère la sécurisation de Purpan, confronté à l’affluence, la trésorerie générale s’assure par exemple que les distributeurs d’argent sont bien alimentés », détaille Loïc Armand, sous-préfet de Muret dont l’objectif est d’améliorer le dispositif.

Publié: 14 mars 2008 sous Coups de gueules.

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