La maladie, formidable moteur de croissance, ou comment prendre les gens pour des cons en se servant des médias ? !

Le figaro magazine du Samedi 19 Janvier 2008 (oui, mais moi je reçois les nouvelles entre un mois et un mois et demi après !)

Jacqueq ATTALI déclare, je cite :

- il faut relancer l’immigration pour relancer la croissance !

- Deuxième secteur clé : la santé.

Trop souvent perçue comme une source de dépenses excessives, elle constitue au contraire un formidable moteur pour la croissance.

Bien, cela correspond à un plan de déstructuration total de l’Europe, dont la France, car relancer l’immigration alors qu’une bonne partie des gens sont actuellement au chômage, à qui voudrait-on faire croire que c’est par l’arrivée massive de gens qui viennent surtout pour profiter des avantages sans rien donner en échange que cela va « sauver la France ».

Ensuite, la santé … ne pourrait-on cesser la langue de bois et utiliser « LA MALADIE » comme SOURCE DE PROFITS pour certains au détriment de ceux qui cotisent pour couvrir cette gabegie.

En 1996, 7 milliards d’Euros rien que pour l’asthme … qui ont fini leur course dans les poches de tous ceux qui en vivent : médecins, spécialistes, hôpitaux, pharmaciens, établissements de cure, associations bidons, écoles de l’asthme, vendeurs de tout ce qui est « anti-acariens », ambulanciers, etc.

Une industrie bien rodée qui effectivement est un « formidable moteur de croissance ».

Voila comment ceux qui sont en charge de la santé, voient les choses : sous leur aspect commercial, les gens peuvent cotiser à la sécu, RDS, CSG, ils payent pour enrichir ceux qui font commerce de la maladie.

Je crois très sincèrement que c’est terminé, il n’y aura plus jamais de sursaut, aucun zorro ne viendra au pouvoir pour le bien des gens, certains ont tout en main pour diriger le troupeau à leur guise afin de l’exploiter au mieux.

Pourquoi ?

Parce qu’actuellement tout est déjà « verrouillé » dans tous les domaines des pouvoirs et que les gens n’ont aucun moyen de se libérer de ce filet ; on pourrait dire « ils sont quasi tous dans la nase ».

Jacques

Publié: 19 mars 2008 sous Les medias.

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