IN RETROVIRUS VERITAS … MAIS FAUT-IL BIEN CROIRE EN LA SCIENCE ?

IN RETROVIRUS VERITAS…

On ira vers une société (..) où il y aura une espèce de rapprochement entre les autorités politiques et les autorités scientifiques pour prendre ensemble les bonnes décisions… 

Impossible d’être assuré que dans son rôle d’intermédiaire entre le réel et nous, LA science d’un groupe d’intérêt partisan ne triche pas, ne nous trompe pas ! Leçon de chose pour les apprentis du savoir et du pouvoir: la vérité en science, mythe et fleuron de l’autorité magistrale –le pouvoir tyrannique en est toujours inquiet -, n’est pas un produit de conception immaculée. Ce qu’il convient mieux de désigner comme réel de science est un long fleuve à méandres hystériques. Le vrai de bioscience est allusif, contradictoire, dialectique, prompt à se retourner, tellement loin de la toute puissance rêvée que seul un fou ou un traître la recommanderait telle quelle à un précaire du Pouvoir.

Mais la prison sur son pelage

A laissé l’ombre du grillage…

Fallait-Il croire en la science ? Qui, IL? Le médecin, l’industriel, le chercheur-trouveur, le propriétaire des brevets ? Le séro positif, ses partenaires, sa famille, son conjoint ou sa conjointe ? Le prêtre, le sociologue, le militant, le psychanalyste, le juge ? Le Maître en Biopouvoir et ses valets politiques? A chacun son bout de vérité sans doute, selon sa place dans le processus de production en bonne topologie libérale, à condition de jouer la règle du genre : meilleur qui peut, meilleur se doit, selon la jurisprudence des obligations de moyens. Car en matière de maladie, soit de vie et de mort, on ne saurait avoir raison seulement parce qu’on serait politiquement majoritaire.

———– Note du 22 Mars 2008

Cache de Google : [64.233.169.104]

et : [asthme-reality.com]

remis en ligne : [picardp1.ivry.cnrs.fr]

Je ne pouvais pas laisser un texte pareil disparaître dans les oubliettes d’Internet, parce que Jacques Leibowitch dérange la société et le pouvoir médico-politicien en place. Cet homme »dérangeant » a écrit des textes que le pouvoir ne peut tolérer, il fait sauter les masques, il « démaquille » les clowns en place et rien que pour ça, on doit sauver ses écrits.

Ils étaient publics, référencés sur Google, ils ne sont plus référencés actuellement, mais on les trouve toujours dans les caches … à la disposition de tous, à la condition de savoir comment les trouver.

Alors j’ai chargé les pages sur mon serveur, pour qu’elles soient en double au cas où les pressions sur Google les feraient disparaître à leur tour. Faites en autant, plus nous serons à sauver ces écrits, meilleur cela sera.

Tous ces liens ont dans un premier temps disparus, puis MIRACLE, le CNRS a remis tout en ligne à cette adresse [picardp1.ivry.cnrs.fr]

Un conseil, consultez ces entretiens, c’est un vrai régal.

Cache Google : Entretiens avec Jean Bernard (page disparue)

[64.233.169.104]

et [asthme-reality.com]

Cache Google : Jean Hamburger (1909-1992) (page disparue) [64.233.169.104]

et [asthme-reality.com]

Cache Google : Entretiens avec Philippe Lazar (page disparue) [64.233.169.104]

et [asthme-reality.com]

Cache Google : Entretiens avec Jean-Paul Lévy (page disparue) [64.233.169.104]

et [asthme-reality.com]

Le fait d’avoir publié sur mon site, ci dessus, un premier texte de Jacques Leibowitch qui était toujours en ligne, lui a valu son effacement immédiat du serveur du CNRS.

Je sais que mon site et surtout mon forum sont consultés en permanence pour savoir ce que j’écrit.

Merci les gars du CNRS, d’avoir remis tout ça en ligne [picardp1.ivry.cnrs.fr]

—————

Le cyber allergologue Auriol a raison quand il écrit que je cherche le procès !

Cela fait plus de 20 ans que je dis ce que je pense à des gens qui en temps normal sont tellement craints : présidents de la république, depuis mitterrand (le tout sans aucune majuscule car il sont à conchier), ministres de la santé (idem), ministres en tous genres (idem) loges maçonniques (idem), partis politiques (idem), etc. Des centaines et centaines de lettres envoyées, dont l’une avec convocation au poste de police de Bayonne

- vous avez envoyé dernièrement un courrier au président de la république ?

- OUI, et alors en quoi ça vous regarde ?

- ne vous avisez pas de recommencer, c’est un conseil amical

- QUOI ?

- c’est tout !

Je rentre chez moi et je re-torche une lettre virulente à cet empaffé de « florentin » qui n’avait que mépris pour les français. Que le Diable ait son âme !

En fait, avec un scandale public, on parlerait enfin de ma méthode et le public en serait informé par les médias ; médias qui ont reçu l’interdiction formelle de faire état de mon travail. Nous en avons eu la confirmation en soignant des enfants asthmatiques dont les parents avaient de très hauts postes dans certaines télévisions et journaux ; il nous ont confirmé qu’il y avait des ordres formels au sujet de mon travail.

Au début, quand j’ai créé mon site, en 1998, mon hébergeur qui en connaissait le contenu, m’avait fait héberger hors de France pour éviter une visite des représentants du fisc lui demandant de me virer sous peine d’un sévère contrôle fiscal. Comme aucun français n’aimerait avoir ces messieurs dans leur comptabilité, les hébergeurs dés-hébergent immédiatement les gens qui déplaisent au gouvernement. j’avais écrit, à l’époque à Al Gore et son épouse, à Clinton et son épouse pour leur demander si aux USA, pays des libertés, on accepterait de m’aider à diffuser mes informations.

je fus contacté par le sénateur Mac Govern qui me dit « Jacques, nous allons héberger ton site sur le serveur du Congrès et là, même le Diable ne pourra t’en faire sortir.

Effectivement, je fus hébergé deux années gratuitement sur ce serveur et j’obtins une certification de grande valeur (du Congrès), à l’époque, qui s’appelait « Medinex » et me donnait un certain poids auprès des visiteurs en tant que qualité de l’information.

Dans ce même temps, une personne très connue aux USA, Judy Worfeld, linguiste renommée, me fit un cadeau pour Noël « à la mémoire de ton fils Franck » de réviser entièrement la partie en langue anglaise de mon site afin qu’il n’y ait aucune faute, aucune mauvaise tournure de phrase, etc. A tel point qu’aux USA, par la suite, dans les référencements on me décrivait comme un citoyen américain, vivant à Bayonne (USA et non France), ayant perdu un enfant, etc. Longtemps mon site fut consulté et référencé par les commissions scolaires au Canada, certainement pour les textes français et anglais correspondants …

Bref, pour en revenir à la provocation, j’en fait depuis 20 ans sans qu’un seul de ces malfrats au pouvoir n’ai eu la réaction espérée, pourtant, dans certains courriers qu’est ce que je leur ai balancé !!!

J’ai compris un jour que la seule chose qui pouvait leur faire peur, c’est qu’un scandale éclate comme celui du sang contaminé, par exemple, mais sur le fait qu’ils sont TOUS au courant de mes travaux, des RÉSULTATS de l’application de mes techniques sur les patients, ce par les RG qui font des rapports réguliers sur ce sujet, et qu’ils aient laissé mourir des milliers de personnes pour conserver le monopole du traitement de l’asthme, pour un problème commercial, de pots de vins, et de protection d’un lobby.

A une époque, j’ai même appris que j’étais sur écoutes téléphoniques par une cellule spéciale hébergée sous L’Élysée ; téléphone, emails, site surveillés en permanence.

Mais jamais de procès !

Alors, je vais remettre en ligne des textes intéressants, sans autorisation des gens qui les ont rendus publics longtemps, puis qui ont décidé, forcés ou non, de les faire disparaître de leur serveur. Oseront-ils m’intenter un procès ?

C’est comme pour le Conseil de l’Ordre des médecins (que j’appelle le conseil de l’ordre des écouillés), « on » leur donnera certainement l’ordre de fermer leurs gueules pour ne pas me faire de publicité !

Bon, revenons à nos brebis :

- concernant l’entretien avec Jean-Paul Lévy (page disparue) [64.233.169.104]

et [asthme-reality.com]

— Note Remise en ligne [picardp1.ivry.cnrs.fr] avec photo

Dans ce texte fort intéressant, j’ai découvert deux perles qui valaient la peine d’en être extraites :

- au sujet de la pratique clinique qui a disparu

…/… « Simultanément la pratique médicale subit une mutation capitale, l’art du clinicien cède la place à la médecine scientifique… 

Initialement c’est vraiment un art, en trois étapes : la sémiologie, l’anatomie pathologique (qui a mis du temps tout de même à se faire admettre) et le diagnostic. J’ai connu les derniers artistes en matière sémiologie. C’étaient des gens qui travaillaient avec leurs oreilles, ils savaient percevoir à l’auscultation des choses extraordinaires. Ils pouvaient, à la percussion, distinguer une masse para vertébrale ou à l’auscultation une compression de la trachée. Aujourd’hui, on ne sait plus vraiment le faire, parce qu’on a d’autres moyens autrement plus précis. La sémiologie était un art, un affinement de l’oreille et du toucher dont tout le monde n’était pas capable. Personnellement j’ai toujours très mal ausculté. Bref, je n’étais pas un artiste. Cet art avait été perfectionné tout au long du XIXème siècle, notamment la palpation, l’auscultation et la percussion, pour donner au XXème siècle la sémiologie que nous apprenions. Il percevait remarquablement les signes cliniques les plus infimes – encore savons-nous aujourd’hui que beaucoup d’entre eux n’avaient pas du tout la valeur qu’on leur attribuait -mais la pathologie était encore très floue. Depuis une quarantaine d’années, la médecine a été progressivement conduite à repenser la pathologie en fonction de ce qu’elle est vraiment, c¹est-à-dire des lésions qui ont des causes, des mécanismes et des conséquences. Beaucoup de soi-disant maladies ont disparu, beaucoup de syndromes se sont simplifiés, d’autres ont été démantelés, et bien des maladies ont été définies que l’on n¹aurait pas imaginées. En fait la notion même de maladie, ses limites, sa définition ont changé, même si bien des médecins ne s’en sont pas aperçus. Par ailleurs les techniques de diagnostic ont complètement changé. Si on prend l’exemple d’un gastro-entérologue, son travail était d’abord un art d’interroger le malade pour pouvoir décrire les symptômes le plus précisément possible. Mais on sait aujourd’hui, que cela ne servait à peu près à rien. Même les meilleurs sémiologistes se trompaient une fois sur deux, et l¹on pourrait citer bien d’autres exemples. Aujourd’hui, si vous avez une douleur persistante à l’estomac, on passe un tube, on regarde et si besoin, on fait un prélèvement. Certes, certains médecins comme Grémy disent que la médecine devait rester un art, mais ils parlent d’autre chose, je crois, de la relation médecin malade notamment. Au sens traditionnel, cela n’a plus aucun sens aujourd’hui. La sémiologie était la base (et elle le reste dans certains domaines) mais l’intuition faisait beaucoup du reste. Bien ou mal. Aujourd’hui on enseigne aux étudiants qu’il ne faut pas se fier à l¹intuition, on leur apprend à raisonner sur des éléments précis, qui le plus souvent -sauf peut-être en neurologie – dépasse de beaucoup la sémiologie clinique. »

- au sujet de l’antisémitisme du milieu médical

…/… « L’antisémitisme du milieu médical 

J’étais passé aussi chez un neurologue qui m’avait fait comprendre qu’il valait mieux ne pas s’appeler Lévy pour postuler chez lui… À La Salpêtrière, il y avait à l’époque un groupe d’antisémites assez virulents. À Lariboisière, j’ai connu plus tard un chef de service juif, dont on m’avait raconté que dans les années 1940 ses collègues lui avaient interdit l’entrée de la Salpêtrière. Une seule fois, beaucoup plus tard, Jean Bernard a évoqué devant moi un éventuel lien au judaïsme. Un jour où je lui disais que j’aimais bien Stegg, un urologue de Cochin, mais qu’il m’agaçait avec ses histoires de judaïsme quelque peu militant. Il m’a répondu  » ces gens-là sont très pieux et nous en veulent de ne pas l’être « . Il me croyait israélite probablement, mais pour lui cela n’avait rigoureusement aucune signification. En fait, si mon grand-père paternel s’appelait Lévy, ma grand-mère paternelle, Marthe Decroix, était catholique, comme mes grands parents maternels. J’ai été élevé dans la religion catholique, mais toujours avec une ambiguïté à cause de mon nom. C’est peut-être pour cette raison que je me suis toujours senti entre deux mondes. Mais, pour en finir avec mes difficultés à trouver des places d’externat, le vrai problème était ailleurs, vous n’aviez aucune chance d’entrer dans bien des grands services si vous n’étiez pas du sérail, ou d’une bonne bourgeoisie dorée sur tranche. J’étais fils de dentistes quelconques à Reims. C’est sans doute outrecuidant de ma part, mais je dois avouer que j’ai ressenti très tôt un certain mépris pour le milieu médical, un mépris humain, qui s’est doublé beaucoup plus tard, quand je l’ai bien connu, d’un certain mépris (le mot est trop fort, mais je n’en trouve pas d’autre – une faible considération pourrait-on dire) pour sa médiocrité intellectuelle. C’est une autre histoire.

Un petit commentaire en passant :

- dans les années 40, comme il dit, il oublie de faire mention du Conseil de l’Ordre des Médecins, calqué sur celui de l’Allemagne nazie, qui avait pour but d’interdire d’exercer aux médecins juifs …. Pas seulement quelques médecins d’un service comme à la Pitié Salpétrière !

Ce même conseil de l’ordre qui a été dissout à la libération et qui est re né de ses cendres pour maintenant interdire aux médecins homéopathes d’exercer en les poursuivant et en les condamnant très durement, allant jusqu’à briser leur carrière, parfois. Il est vrai que les membre du CO régional sont par principes les propriétaires de plus grosses cliniques et que les médecins « normaux » leur envoient de quoi bourrer leurs établissements ; pas les homéopathes ont dirait.

Le « florentin » (que le Diable ait son âme) avait promis de supprimer le CO …. Ils ont dû raquer sévère pour éviter leur disparition !

Je reviendrai sur ces textes sauvés in extremis, de très bonnes choses méritent d’en être extraites et commentées.
Jacques

Publié: 2 février 2008 sous Coups de gueules.

Commentaire(s)

Commentaire de leibowitch jacques
6 janvier 2014 à 4 h 52 min

il faut qu’on se parle avant d’etre partis

Commentaire de Jacques
6 janvier 2014 à 10 h 38 min

Bonjour Jacques

vous pouvez me contacter directement sur gesret@asthma-reality.com

Cordialement,
Jacques

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