Bonjour,

Je suis étudiante en ostéopathie à l'ESO d'Emerainville que dirige M. Caporossi. Nous parlons souvent d'asthme et des divers moyen d'intervenir pour espacer voire estomper les crises suivant leur origine (neurologique, mécanique,...). Les ostéopathes formés à votre méthode sont-ils nombreux ?

Corinne

Bonjour Corinne,

avec la dernière session dans l'école espagnole, ils vont être autour de 230, j'attends la liste des nouveaux formés pour les mettre sur le site.

D'ici la fin de l'année, j'espère en avoir une dizaine de plus en France.

Jacques

Bonjour Jacques,

Merci de votre réponse rapide. Depuis hier, je découvre votre site et je suis convaincue que vous avez fait des découvertes majeures.

J'ai découvert votre site par le biais des dermalgies reflexes de Jarricot. En effet, nous apprenons par coeur des tableaux de symptomatologie reflexe viscérale et j'étais très ennuyée car je ne comprenais pas les mécanismes.

Grace à vous je viens de me rendre compte qu'il y avait un espoir pour que les traîtements soient efficaces de manière durable.
Je viens également de réviser l'anatomie du nerf X et je me suis rendue compte que j'avais complètement occulté le rameau auriculaire. Je ne comprenais pas non plus à quoi servait le nerf de Jacobson.

J'ai envie d'informer mes collègues de l'école de votre site. J'espère qu'ils seront aussi enthousiastes que moi.

Une dernière chose pour le moment: je m'intéresse beaucoup à l'aromathérapie , à la phytothérapie, aux concepts ayurvédiques...
Je considère que l'homme moderne est complètement malade par manque de ce que l'on appelle spiritualité au sens large du terme. Je m'intéresse beaucoup aux écrits tibétains , aux toltèques... et à toute civilisation qui a su développer un art d'être. Attention, je ne suis pas du tout mythique ou quoi que ce soit. Je pense qu'on peut être rationnel tout en restant ouvert.

Corinne

Bonjour Corinne,
les choses sont parfois bien plus simples qu'on les imagine !
Par contre, dans le scientisme qui règne actuellement, c'est la négation absolue des choses simples car elles remettent en question des réputations bâties sur des erreurs de concepts et personne n'a le courage de se remettre en question.
On a négligé totalement le côté informatif corporel pour se focaliser sur ses réponses chimiques, tout simplement pour trouver des débouchés commerciaux dans des médicaments. On ne s'est pas attaqué aux causes mais aux symtômes pour les contrer.
Partant du principe simple que le corps est programmé pour assurer la survie de l'espèce, ce depuis la nuit des temps, il ne peut donc avoir que des réactions logiques pour la défendre.
C'est là qu'interviennent les messages pojetés ou "fantômes" qui, étant au niveau de l'inconscient, ne sont pas "visibles" de l'extérieur, ni perceptibles par la personne.
Le corps réagit de façon logique en apportant une réponse à un message qu'il croit provenir du plexus pulmonaire ou d'une section cutanée précise.
Supprimons l'informations, la pathologie disparraît quasi immédiatement (le temps pour le corps de procéder aux réparations).

Tous les grands "professeurs" de pneumologie et allergologie sont au courant de mes travaux depuis 1987 (LR+AR) mais ont fait en sorte de ne jamais en parler, qu'aucun media n'en parle, etc.

A ce niveau, ims sont totalement corrompus par les labos et ne roulent que pour eux, aidés en cela par des politiciens pourris qui les médiatisent !

Alors, puisque la médecine ne veut pas d'une découverte clinique fondamentale, il ne me restait qu'une solution : construire un réseau de praticiens formés à mes techniques :)
Petit à petit il prend forme et ce que j'avais dit à un Prof. de pneumo se mets en place : je suis seul pour l'instant et je soigne dix personnes par jour, on en parle un peu ; quand nous serons 10, nous soignerons 100 personnes par jour ; quand nous serons 100, 1.000 /jour, etc.
Nous approchons les 230 praticiens et la potentialité de plus de 2.000 personnes / jour :) Et ce n'est qu'un début !
Chaque personne dont nous avons guéri l'enfant, ou elle même, en parle volontiers autour d'elle et le bouche à oreille aidant, cela se sait de plus en plus.
En 1994, j'ai été reçu au Ministère de la Santé, pour m'entendre dire "Ah, quel dommage que vous ne soyez pas médecin !", puis j'ai eu plusieurs conversations avec le Directeur Général de la Santé, le gros "Girard" qui en est arrivé aux mêmes conclusions, mais qui avait refilé mon dossier à la Direction de l'exercice Médical, au Pr. Perret, pour les charger de me poursuivre pour "exercice illégal de la médecine" ; un échange de coups de téléphone avec ce dernier a arrêté la poursuite, dès l'instant où je l'encourrageais à le faire, lui disant que ça me rendrait service de passer par la voie médiatique au lieu d'être bloqué par l'administration :))

Et ce n'est pas aujourd'hui que les choses changeront avec Matteï car son Directeur de cabinet n'est autre qu'un des patrons du laboratoire Eli Lilly qui fabrique le Prozac ; il à pouvoir de tout décider et de tout signer à la place du Ministre !!!! (par arrêté ministériel). Matteï n'est qu'un gant vide et c'est la main d'un labo qui est dedans.

Côté ostéopathie, même cas de figuer : "Ah, quel dommage que vous soyez pas ostéopathe !". La seule proposition c'est chez Atman, de me recevoir pendant l'heure du repas, à la cantine !!!! Ce qui correspondait à deux jours de déplacement pour moi, au départ de Bayonne ; on appelle ça se payer ma tête.

On parle beaucoup de moi dans les écoles et on dit même que je fais de la rétention de "savoir" en demandant une grosse somme d'argent pour le transmettre. En fait, si vous prenez la peine d'interroger des praticiens formés, ils vous diront tous que leur formation a été remboursée en trois semaines, et aucun d'eux ne s'en plaint. La formation est individuelle et un enseignant vient au cabinet du praticien pour le faire travailler sur ses propres malades. Pour cela, il paye trois jours de chiffre d'affaire à l'enseignant, son déplacement et son hôtel (s'il se déplaçait pour aller apprendre, il payerait son déplacement et son hôtel, c'est réciproque).
Mais pendant son apprentissage, il voit plus de 20 patients qui lui payent 61 € chacun, lui remboursant les deux tiers de sa formation sur le champ !
Est ce faire payer très cher un savoir que de procéder comme ça ?
Seuls ceux qui voudraient s'en emparer le disent :))
Je refuse les formations de groupes pour les raisons suivantes :
les gens viennent peu motivés et seulement pour chercher "une recette de cuisine" qu'ils ajouteront au besoin à leur pratique, mais qui ne se spécialiseront pas dans le traitement des pathologies du système immunitaire. Je ne pourrais donc pas compter sur eux comme sur ceux qui sont rentrés dans mon équipe ; cela leur coûterait plus cher, puisqu'ils n'auraient pas de retous de séances pendant leur formation et le dernier point, le plus important : le formateur est "régional" et vient en aide à ses élèves (gratuitement) en cas de difficultés sur un patient. Il organise des réunions avec ses élèves pour les mettre à niveau et les perfectionner.
Donc, en cas de formation de groupe à Paris, comment voulez vous venir en aide à un praticien situé à Toulon ??? On ne peut pas demander à un praticien qui ne l'a pas formé de lui venier gratuitement en aide ???

Non, tous me l'ont dit, ma formule est de loin la meilleure et mieux vaut avoir peu de praticiens de qualité qu'une ribambelle sur qui on ne peut pas compter pour garantir un travail de qualité.

Première réaction des Directeurs d'écoles d'ostéopathie qui ont été contactés par certains de mes praticiens "Oui, mais on connaît déjà tout ça !". Excusez mon language, mais ce sont de pauvres cons prétentieux !

S'ils savaient "déjà" tout ça, pourquoi ne l'enseignent-ils pas à leurs élèves ? Ils traiteraient l'asthme, allergies, eczéma et psoriasis avec succès, et ça se saurait très vite, n'est ce pas ?

La vérité, c'est la même attitude que la médecine ; la découverte ne venant pas d'un des leurs, ils la rejettent tout simplement.

Je mets au défi n'importe quelle école d'ostéo, de prendre leurs meilleurs pratiquants, de les faire travailler sur plusieurs patients, prendre tout le temps qu'ils veulent, et passer derrière eux pour leur montrer tout ce qu'ils ont "oublié" de faire. Mais, ça aucune école n'accepterait de le faire :)

Donc, tout comme de la médecine, je me fiche totalement des "ostéopathes" et me contente, avec mes 12 formateurs d'enseigner à des kinésithérapeutes qui font bien moins les difficiles, vu la situation de leur profession qui va se dégrader de plus en plus. Ils se spécialisent volontiers dans mes techniques et "passent" là ou l'ostéopathe ne passe pas, sur des hernies discales, sciatalgies et cruralgies récidivantes, sur une périarthrite scapulo-humérale (en moins de 5 minutes et quelques gestes, le patient lève ses bras normalement) ainsi que sur des migraines chroniques (elle s'estompe en quelques minutes et ne revient plus).
Je ne dis pas des mensonges, TOUS mes praticiens pourront le confirmer.

Trois jours pour savoir le faire, pour tout praticien sachant déjà faire un tout petit peu de structurel. Avec cette méthode, nous travaillons sur des nourrissons sans jamais aucun problème (oui, du structurel vrai !), j'ai même travaillé sur un prématuré de 7 mois, ayant 10 jours d'existence et dépérissant par le reflux de toute nourriture et un torticolis bloquant sa tête à droite. Une minute de travail et l'enfant a tété sa mère sans reflux ; Catherine de Verchère, prof d'ostéo chez qui je l'ai fait peut en témoigner.

Le seul problème, oui, il y en a un, c'est que je ne donne la permission d'enseigner mes techniques qu'à ceux qui la pratiques depuis des années, qui ont des résultats constants, qui ont fait de nombreux stages de perfectionnement et qui possèdent la qualité d'enseignement.
Pas question de laisser enseigner à quelqu'un qui se serait contenté de la théorie et d'une simple formation, ne serait-ce que d'une semaine.
Sinon, la qualité va baisser très rapidement, en perdant la moitié de son efficacité. Je suis certain que vous m'approuverez totalement.

Vous avez parfaitement raison en disant que l'homme moderne manque totalement de spiritualité, mais la faute à qui ?
J'ajouterais même que peu de praticiens connaissent la compassion ....
Avez vous un jour vécu dans votre vie, l'accompagnement jusqu'à sa mort d'une jeune fille de 20 ans ayant un cancer généralisé ? Pas pour des soins, bien entendu, mais pour l'aider spirituellement et qu'elle soit en paix.

Je vous souhaite de vivre ça, après vous n'êtes plus pareil ....

Toutes mes amitiés,
Jacques

Cher Jacques,

(excusez-moi si je vous parais familière en écrivant 'cher' Jacques mais j'avoue que je suis touchée par votre démarche, vos recherches, vos réactions, votre ténacité...)

Merci à nouveau de votre réponse.

J'ai pris contact ce matin avec M. SEBBEN et nous allons nous rencontrer la semaine prochaine (j'habite à Paris 14).
J'ai rapidement évoqué par téléphone le sujet des écoles d'ostéopathie à temps plein.
Je suis vraiment navrée de voir que les ostéo ne soient pas plus ouverts vis-à- vis de vos découvertes. Je pense que nous travaillons avec des données similaires scientifiques, mais il me semble que vous avez franchi un pas audacieux mais juste qui serait à mon avis indispensable à un ostéopathe digne de ce nom.
Certains de mes collègues se spécialisent après l'école en posturologie ou en médecine chinoise. Je pense que vos découvertes représentent un pont entre les deux avec l'avantage d'aller plus loin que l'ostéopathie tout en restant dans un domaine scientifique.

Effectivement, se déplacer engendre un minimum de frais et les 3 jours de consultation sont vites remboursés. Et puis les stages en groupe sont souvent chers pour certainement pas autant de résultats.
Et peu importe, c'est la santé des patient qui est en jeu.

L'année dernière en cours, nous avons assez longuement évoqué la douleur fantôme. Je m'étais déjà énormément interrogée sur le sujet. J'avais l'intuition qu'on pouvait aller plus loin tout en restant dans la physiologie connue.

A ce propos, j'ai une expérience à vous raconter concernant un amie de ma promotion qui est diabétique depuis l'âge de 7 ans.
En lui faisant une technique de base-spread (technique grace à laquelle lors d'une bonne mise en tension on peut ressentir les restrictions de mobilité du corps...si on est bien à l'écoute du patient) j'ai ressenti un vide énorme correspondant à l'emplacement anatomique (du moins grosso-modo) du pancréas. Je me suis dit que c'était la conséquence de la destruction des cellules pancréatiques. Mais cette réponse ne me satisfaisait pas.
A la lumière de ce que vous dites, je me pose la question suivante: est-ce que, vers 5-6 ans, le corps ne recevant plus d'information métamérique juste à cause d'un blocage X ou Y, a-t-il pu mettre en place un processus de destruction ?

Quant aux labos, je suis d'accord avec le fait qu'ils ne pensent qu'à l'argent. l'exemple de Bayer avec cette pseudo menace à l'anthrax est criant. Et peu de personnes le dénoncent.
Je crois que 12% des français sont sous Prozac. Dès que quelqu'un a quelques douleurs un peu suspectes: Prozac !!!!! C'est hallucinant. Après, on dit que le moral des français est au beau fixe !!!!
Un ministre n'est souvent qu'un pantin. Corinne Lepage l'avait dénoncé dans son livre "On ne peut rien faire Madame la Ministre"

L'expérience d'accompagnement dans la mort que vous avez eue avec cette jeune fille est exceptionnelle, terriblement émouvante. Si chacun pouvait se donner l'occasion de donner un peu plus de temps à son prochain et que ce prochain ne soit pas si méfiant, la vie pourrait être beaucoup plus agréable. J'ai remarqué que même après une expérience collective visant à mieux se connaître entre voisins par exemple, l'effet fleur bleue disparaît comme un songe dès que l'éducation culturelle reprend le dessus.... parfois le lendemain même. Pourtant les gens se sentent bien souvent seuls et sont demandeurs. Beaucoup n'osent pas. C'est l'instinct de survie dans la non-vie !

La seule expérience que j'ai dans l'accompagnement dans la mort est une écoute téléphonique bénévole au sein de l'association Suicide Ecoute. Et aussi je suis allée voir une jeune voisine qui s'était défenestrée de 4ème étage cet été. Elle a survécu et je suis allée la voir à l'hôpital plusieurs fois.

Tout ceci m'a pas mal bouleversée et je m'en remets seulement.

Je pense contacter mon prof de neuro pour savoir s'il connaît votre site. Je pense qu'il pourra être conquis par vos découvertes.
Vous avez raison: les ostéos se montent souvent la tête et sont parfois des mégadolichocéphales !!

A bientôt

Corinne

Chère Corinne,
je ne suis pas du tout choqué par cette forme de contact, bien au contraire ; il y a longtemps que j'ai appris, au contact des américains à oublier les titres et manières inutiles. j'ai découvert ça en correspondant avec un sénateur : Hi Jacques / Hi Mac !
Les relations sont aussitôt cordiales tout en étant respectueuses. J'ai pas mal voyagé et dans les autres cultures, le "vous" est souvent une forme de mépris, sauf à s'adresser à une personne très importante (qui passe très rapidement au "tu"). Chez nous, le "tu" est presque considéré comme un manque de respect, c'est comme de répondre à une personne en citant seulement son prénom, et en signant de même ; c'est pas encore entré dans nos moeurs.

Pour répondre à votre question :
"est-ce que, vers 5-6 ans, le corps ne recevant plus d'information métamérique juste à cause d'un blocage X ou Y, a-t-il pu mettre en place un processus de destruction ?"

C'est un peu ça, mais pas tout à fait :o)

En fait, des informations parasites sur les racines nerveuses du pancréas ET du ganglion supremum thoraci (collé sous le stellaire et qui recueille les infos des nerfs intercostaux pour les lui transmettre), font qu'un déréglement des réponses immunitaires est mis en place et que la réaction de défense se produit dans la zone "supposée" agressée. D'où cette réponse contre les propres cellules du pancréas.
j'irais jusqu'à dire (car j'en ai eu les preuves) que la perte d'information d'un territoire est ressentie comme un "trou" et que dans certaines conditions, des ordres sont donnés à sa périphérie supposée pour réactiver un facteur de croissance, destiné à faire se multiplier des cellules pour le combler.
Comme aucune information ne parvient de ce "trou supposé", la multiplication va continuer sans cesse et nous aurons un néo !!

J'en ai apporté la preuve dans un néo du quadrant supéroexterne du sein chez une patient qui a exigé mes soins. J'ai publié une page sur mon site et mis sa photo. Suite à cette expérimentation, j'ai écrit au Pr. Claude Jasmin pour lui faire part de mes observations et sa réponse a été très intéressante.
J'ai pu constater, en présence d'une infirmière, que la tumeur de cette personne était de la taille d'une mandarine, "gros bras", etc. Puis qu'au bout d'un an elle s'était totalement fibrosée, de la taille d'un haricot, et que son bras était redevenu normal.
J'avais constaté que toutes les personnes présentant ce type de tumeur (soignée, en cours de soins, mamectomie, etc.) avaient une deuxième côte homolatérale quasiment disloquée au niveau chondro-costal !
Très difficile à remettre en place et à stabiliser.
J'en ai traité une autre, de mes connaissances, et le résultat a été identique à la grande surprise de ses médecins, à qui elle n'a, bien entendu, rien dit !

Votre prof de neuro peut me contacter, je suis en contact avec plusieurs neurologues qui ont acheté mon livre et avec qui nous avons eu d'énormes discussions très productives.
Je suis un "fou" de neurophysiologie, ayant dévoré jusqu'à la substantifique moëlle les ouvrages nombreux de Delmas, Selmas et Laux, Guy Lazorthes, Paul chauchard et bien d'autres. C'est grâce à ça que j'ai pu comprendre les mécanismes que je mettais en jeux dans mon système et les expliquer scientifiquement.
J'ai mis six ans à écrire ce livre (et me faire rouler par mon éditeur qui ne me verse aucun de mes droits d'auteur depuis trois ans) et jamais aucun neurologue ni autre spécialiste n'y a apporté contradiction.
J'ai fait en sorte qu'il n'y ait aucune faille et que tout soit justifié par des écrits officiellement reconnus par tous.

Je n'ai recontré qu'un seul homme jusqu'à présent qui ait compris immédiatement la portée de mes travaux, c'est un Pr., maître de conférence en pharmacologie, chargé de la coordination de la recherche en psychoneuroimmunologie. Il avait abordé le problème par l'autre bout : déréglement psychoaffectif / réponse immunologique dans un secteur, mais sans savoir porquoi ce secteur précis et pas un autre. Ils avaient constaté qu'en cas de paralysie d'un membre, la pathologie ne s'y développait pas olors que dans l'autre, oui.

J'ai pris le problème par l'autre bout : déréglement de la structure, messages projetés sur une zone précise, réponse immunitaire dans cette zone, et déréglement psychoaffectif résultant d'une pathologie précise. Ex : l'atteinte d'une fonction vitale, comme respiratoire, conduit à un état d'anxiété larvé et après une crise quasiment mortelle, un état permanent d'angoisse de mort.
Ce déréglement psychoaffectif va devenir un facteur aggravant et souvent déclenchant, mais n'est pas la cause.
Prenons une femme qui a mal au ventre 10 minutes, même une journée, cela ne va pas modifier son comprtement. Prenons en une autre qui a mal au ventre depuis un an, qui a consulté de tous les côtés, jusqu'à ce qu'on la mette sous Prozac en lui disant que c'est psychosomatique :)
Son comportement relationnel va se dégrader petit à petit, elle va devenir agressive, dépressive, même pourquoi pas suicidaire.
Bien, elle vient chez un praticiens comme moi ou vous et vous constatez une anomalie dorsale basse ou lombaire haute ; vous réduisez le problème et ho, miracle sa douleur disparaît sur le champ.
Dans les jours qui suivent, tous ses troubles psychoaffectifs vont disparaître et elle retrouvera sa condition naturelle.

Cet homme et moi avons passé deux heures d'enthousiasme à échanger nos connaissances ... mais il travaille en pharmacologie :o))
Une de ses conclusions "il faudrait pouvoir expérimenter votre méthode sur des rats, pour pouvoir la présenter".

Marrant, ça fait 20 ans qu'on la pratique avec succès sur des humains, pouquoi faudrait-il repasser par des rats pour la démontrer ???

C'est ça le scientisme, forme moderne de croyance qui a fait perdre toute autre forme de raisonnement à nos "scientifique", souvent bien installés jusqu'à leur retraite dans un placard confortable du CNRS.
Une petite publication de temps en temps, pour renouveler les crédits du labo et c'est tout.
Le Général de Gaulle avait eu cette répartie "des chercheurs on n'en manque pas, des trouveurs, on en cherche".

Hé bien non, les chercheurs stériles font tout pour rejetter les trouveurs, car ils dérangent l'ordre établi.
Quand on a compris ça, pas besoin de chercher autre chose.

La mégadolichocéphalie n'est pas restreinete aux ostéopathes, jen'évoquerai pas les chiro, qui eux travaillent surtout le marketting, à raison d'un très grand nombre de séances parfois sur deux ans, toutes les semaines, afin de rentabiliser leurs études au maximum.

Ils ont pourri le domaine du soin de l'asthme par thérapie manuelle, n'ayant pas découvert les mécanismes d'origine mais ayant fait un immense battage publicitaire sur quelques cas réussis par hasard.
Dans le cadre d'une expérimentation sérieuse, bien entendu, ils ont échoués, permettant à la médecine d'en tirer les conclusions : il n'y a aucune base logique, ni aucun résultats dans le traitement de l'asthme par les thérapies manuelles chiropractiques (et autres).

Comment voulez vous que je sois crédible, moi le sans grade, après une telle démonstration de marketting et d'expérimentation décevante.

C'est pour ces raisons que je place les chiros, juste après les crapauds dans la hiérarchie manipulatoire ...

Quand j'en vois un faire un site internet qui le place comme "le plus grand spécialiste des cervicales", je suis plié de rire, sachant, moi, qu'on ne peut pas agir avec certidude et précision sur les cervicales, si le gril thoracique n'a pas été restructuré correctement avant. Eux ne le savent pas, mais le plus con de nos kinés le sait : toute la musculature cervicale est attachée sur les 5 premiers segments toraciques.
les côtes entraînant de fausses jambes courtes, ne pas résoudre ce problème c'es laisser une personne avec un pelvis de travers, pas besoin de vous conter la suite, n'est-ce pas ?

Bon, je suis un grand bavard :o)

Jacques